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Ce cinquième dimanche du Carême, nous faisons mémoire de notre vénérable Mère Marie l'Égyptienne.
L'âme quitte une chair jusqu'à l'os amaigrie :
terre, couvre les os, ces restes de Marie.
Sainte Marie l'Égyptienne. A l'âge de douze ans, elle s'échappa de chez ses parents et partit pour Alexandrie, où elle vécut dix-sept ans dans la débauche. Ensuite, mue par la curiosité, elle s'embarqua avec de nombreux pèlerins pour Jérusalem, afin d'assister à l'Exaltation de la vénérable Croix. Mais là, elle s'adonna à toute sorte de licence et entraîna beaucoup d'hommes dans le gouffre de perdition. Voulant entrer à l'église, le jour où l'on exaltait la Croix, elle éprouva trois ou quatre fois une puissance invisible qui l'empêchait d'entrer, alors que la foule pouvait pénétrer sans obstacle. Elle en eut le cœur meurtri et décida de changer de vie, afin de trouver grâce auprès de Dieu par la pénitence. Alors, retournant vers l'église, elle y put entrer sans difficulté. S'étant prosternée devant la vénérable Croix, le jour même elle quitta Jérusalem, traversa le Jourdain et pénétra au cœur du désert. Pendant quarante-sept ans, elle y mena une vie très austère, une existence surhumaine, seule à seul avec Dieu dans la prière.
Vers la fin de sa vie, elle rencontra un ermite du nom de Zosime et, lui ayant raconté sa vie depuis le début, elle le pria de lui porter les Saints Mystères pour y communier ; ce qu'il fit l'année suivante, le Jeudi Saint. Revenu l'année d'après, Zosime la trouva morte, étendue sur la terre ; près d'elle une inscription disait : « Abba Zosime, enterre ici le corps de la pauvre Marie. Je suis morte le jour où j'ai communié aux Saints Mystères. Prie pour moi. » Sa mort advint en 378 [vers 430 selon d'autres].
L'âme quitte une chair jusqu'à l'os amaigrie :
terre, couvre les os, ces restes de Marie.
Sainte Marie l'Égyptienne. A l'âge de douze ans, elle s'échappa de chez ses parents et partit pour Alexandrie, où elle vécut dix-sept ans dans la débauche. Ensuite, mue par la curiosité, elle s'embarqua avec de nombreux pèlerins pour Jérusalem, afin d'assister à l'Exaltation de la vénérable Croix. Mais là, elle s'adonna à toute sorte de licence et entraîna beaucoup d'hommes dans le gouffre de perdition. Voulant entrer à l'église, le jour où l'on exaltait la Croix, elle éprouva trois ou quatre fois une puissance invisible qui l'empêchait d'entrer, alors que la foule pouvait pénétrer sans obstacle. Elle en eut le cœur meurtri et décida de changer de vie, afin de trouver grâce auprès de Dieu par la pénitence. Alors, retournant vers l'église, elle y put entrer sans difficulté. S'étant prosternée devant la vénérable Croix, le jour même elle quitta Jérusalem, traversa le Jourdain et pénétra au cœur du désert. Pendant quarante-sept ans, elle y mena une vie très austère, une existence surhumaine, seule à seul avec Dieu dans la prière.
Vers la fin de sa vie, elle rencontra un ermite du nom de Zosime et, lui ayant raconté sa vie depuis le début, elle le pria de lui porter les Saints Mystères pour y communier ; ce qu'il fit l'année suivante, le Jeudi Saint. Revenu l'année d'après, Zosime la trouva morte, étendue sur la terre ; près d'elle une inscription disait : « Abba Zosime, enterre ici le corps de la pauvre Marie. Je suis morte le jour où j'ai communié aux Saints Mystères. Prie pour moi. » Sa mort advint en 378 [vers 430 selon d'autres].
Rédigé par Nikita Krivochéine le 4 Avril 2009 à 10:51
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Selon le père Nicolas Balachov, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, l'Église orthodoxe russe dispose à présent du potentiel nécessaire pour rendre la liturgie plus compréhensible à nos contemporains. A la présentation d'un nouveau dictionnaire du slavon liturgique à Moscou, il a souligné que ce travail nécessaire "exige des efforts colossaux".
Le père N. Balachov, spécialiste par ailleurs du concile de Moscou de 1917-1918 a rappelé que ce concile s'était déjà penché sur la question de la compréhension de la liturgie, mais, pour des raisons historiques, son travail n'a pas pu être achevé. Si le problème de la compréhension se posait déjà à cette époque-là, il est, selon le père Nicolas, encore plus urgent en ce début du XXIe siècle.
Il a regretté que jusqu'à présent, aucune initiative ecclésiale n'a été prise dans ce domaine, alors qu'il y a quinze ans, le patriarche Alexis II avait commencé à parler de "la nécessité de rendre la liturgie plus accessible à nos contemporains".
Le père N. Balachov, spécialiste par ailleurs du concile de Moscou de 1917-1918 a rappelé que ce concile s'était déjà penché sur la question de la compréhension de la liturgie, mais, pour des raisons historiques, son travail n'a pas pu être achevé. Si le problème de la compréhension se posait déjà à cette époque-là, il est, selon le père Nicolas, encore plus urgent en ce début du XXIe siècle.
Il a regretté que jusqu'à présent, aucune initiative ecclésiale n'a été prise dans ce domaine, alors qu'il y a quinze ans, le patriarche Alexis II avait commencé à parler de "la nécessité de rendre la liturgie plus accessible à nos contemporains".
Le slogan "Dieu n'existe pas" banni des bus allemands
LE MONDE | 02.04.09 |
"Dieu (selon toute vraisemblance) n'existe pas." Plaqué sur les flancs de trois autobus, le slogan aurait dû circuler pendant trois mois dans les rues de Berlin. Objectif : faire de la capitale allemande le nouveau point de chute de la vaste campagne de publicité lancée par un collectif d'athées, début janvier, en Grande-Bretagne. Celle-ci a déjà essaimé avec succès au Canada, en Australie, en Italie et en Espagne (Le Monde du 15 janvier).
Pourtant, malgré plus de 20 000 euros de dons, rassemblés en quelques jours de collecte, l'initiative "Buskampagne" est au point mort en Allemagne. La régie des transports berlinois (BVG) n'a pas voulu délivrer d'autorisation. Les militants athées ont bien imaginé diffuser leur message sur les autobus d'autres grandes villes du pays. Peine perdue. Munich, Brême, Leipzig, Stuttgart, Dresde, Potsdam, Hambourg... Dans toutes ces municipalités, les refus tombent, les uns après les autres.
LE MONDE | 02.04.09 |
"Dieu (selon toute vraisemblance) n'existe pas." Plaqué sur les flancs de trois autobus, le slogan aurait dû circuler pendant trois mois dans les rues de Berlin. Objectif : faire de la capitale allemande le nouveau point de chute de la vaste campagne de publicité lancée par un collectif d'athées, début janvier, en Grande-Bretagne. Celle-ci a déjà essaimé avec succès au Canada, en Australie, en Italie et en Espagne (Le Monde du 15 janvier).
Pourtant, malgré plus de 20 000 euros de dons, rassemblés en quelques jours de collecte, l'initiative "Buskampagne" est au point mort en Allemagne. La régie des transports berlinois (BVG) n'a pas voulu délivrer d'autorisation. Les militants athées ont bien imaginé diffuser leur message sur les autobus d'autres grandes villes du pays. Peine perdue. Munich, Brême, Leipzig, Stuttgart, Dresde, Potsdam, Hambourg... Dans toutes ces municipalités, les refus tombent, les uns après les autres.
Notre contributeur V. Golovanow nous a fait parvenir ce très bel extrait de l'ouvrage du père Alexandre Schmemann "Le Grand Carême" (référence en fin de texte). Nous l'en remercions:
Seigneur et Maître de ma vie, l’esprit d’oisiveté, de découragement, de domination et de vaines paroles, éloigne de moi.
L’esprit d’intégrité, d’humilité, de patience et de charité, accorde à ton serviteur.
Oui, Seigneur et Roi, donne-moi de voir mes fautes et de ne pas juger mon frère, car tu béni aux siècles des siècles. Amen.
Cette prière est lue deux fois à la fin de chaque office du Carême, du lundi au vendredi (on ne la dit pas le samedi et le dimanche, car les offices de ces deux jours ne suivent pas l’ordonnance du Carême). On la dit une première fois en faisant une métanie (prosternation) après chaque demande. Puis on s’incline douze fois en disant : " Ô Dieu, purifie-moi, pécheur ! " Enfin on répète toute la prière avec une dernière prosternation à la fin.
Pourquoi cette courte et si simple prière occupe-t-elle une place aussi importante dans la prière liturgique du Carême ? C’est qu’elle énumère d’une façon très heureuse tous les éléments négatifs et positifs du repentir, et constitue en quelque sorte un aide-mémoire pour notre effort personnel de Carême. Cet effort vise d’abord à nous libérer de certaines maladies spirituelles fondamentales qui imprègnent notre vie et nous mettent pratiquement dans l’impossibilité de commencer même à nous tourner vers Dieu.
Seigneur et Maître de ma vie, l’esprit d’oisiveté, de découragement, de domination et de vaines paroles, éloigne de moi.
L’esprit d’intégrité, d’humilité, de patience et de charité, accorde à ton serviteur.
Oui, Seigneur et Roi, donne-moi de voir mes fautes et de ne pas juger mon frère, car tu béni aux siècles des siècles. Amen.
Cette prière est lue deux fois à la fin de chaque office du Carême, du lundi au vendredi (on ne la dit pas le samedi et le dimanche, car les offices de ces deux jours ne suivent pas l’ordonnance du Carême). On la dit une première fois en faisant une métanie (prosternation) après chaque demande. Puis on s’incline douze fois en disant : " Ô Dieu, purifie-moi, pécheur ! " Enfin on répète toute la prière avec une dernière prosternation à la fin.
Pourquoi cette courte et si simple prière occupe-t-elle une place aussi importante dans la prière liturgique du Carême ? C’est qu’elle énumère d’une façon très heureuse tous les éléments négatifs et positifs du repentir, et constitue en quelque sorte un aide-mémoire pour notre effort personnel de Carême. Cet effort vise d’abord à nous libérer de certaines maladies spirituelles fondamentales qui imprègnent notre vie et nous mettent pratiquement dans l’impossibilité de commencer même à nous tourner vers Dieu.

La Croix publie sur site le texte d'une très belle lettre du cardinal Roger Etchegaray, président émérite du Conseil pontifical Justice et Paix, adressée aux "catholiques troublés".
Nous vous la proposons sur ce blog parce que d'une part, dans le contexte actuel, elle n'est pas sans intérêt pour les orthodoxes vivant en Europe occidentale et, d'autre part, le cardinal Etchegaray est un grand ami de l'orthodoxie. Ami personnel du patriarche Alexis II, il fréquente les pays et patriarcats orthodoxes depuis plus d'un demi-siècle...
Cette période est pour l’Église bien rude, mais salutaire dans la mesure où elle saura en tirer les leçons. La crise n’est pas d’aujourd’hui, elle est même d’avant le concile Vatican II qui est heureusement venu l’assouplir. Quand je pense à mon temps de jeunesse, j’ai l’impression de vieillir dans un autre monde. Quelle distance entre l’Église de mon espérance et l’Église de mon expérience ! Les mutations les plus profondes sont de l’ordre de l’esprit et des mentalités plus que de la matière et des techniques.
Le mot « défi » est peut-être un des mots les plus actuels, exprimant l’angoisse de qui se sent menacé. Paradoxalement, l’homme moderne manque d’appétit pour le futur qui est pourtant de plus en plus entre ses mains. Saint Pierre estime que la mission du chrétien est de rendre compte aux autres de l’espérance qui est en lui (cf. 1 Pierre 3, 15). Mais nous en parlons à fleur de peau, avec trop de légèreté, alors que la prière assidue est le seul puits du fond duquel nous pouvons faire monter l’eau vive de l’espérance.
Nous vous la proposons sur ce blog parce que d'une part, dans le contexte actuel, elle n'est pas sans intérêt pour les orthodoxes vivant en Europe occidentale et, d'autre part, le cardinal Etchegaray est un grand ami de l'orthodoxie. Ami personnel du patriarche Alexis II, il fréquente les pays et patriarcats orthodoxes depuis plus d'un demi-siècle...
Cette période est pour l’Église bien rude, mais salutaire dans la mesure où elle saura en tirer les leçons. La crise n’est pas d’aujourd’hui, elle est même d’avant le concile Vatican II qui est heureusement venu l’assouplir. Quand je pense à mon temps de jeunesse, j’ai l’impression de vieillir dans un autre monde. Quelle distance entre l’Église de mon espérance et l’Église de mon expérience ! Les mutations les plus profondes sont de l’ordre de l’esprit et des mentalités plus que de la matière et des techniques.
Le mot « défi » est peut-être un des mots les plus actuels, exprimant l’angoisse de qui se sent menacé. Paradoxalement, l’homme moderne manque d’appétit pour le futur qui est pourtant de plus en plus entre ses mains. Saint Pierre estime que la mission du chrétien est de rendre compte aux autres de l’espérance qui est en lui (cf. 1 Pierre 3, 15). Mais nous en parlons à fleur de peau, avec trop de légèreté, alors que la prière assidue est le seul puits du fond duquel nous pouvons faire monter l’eau vive de l’espérance.
Les différentes Églises chrétiennes de Biélorussie sont engagées ensemble dans la lutte contre le SIDA dans le cadre d'une mission interchrétienne "Le service social chrétien". Cette mission œcuménique réunit des représentants de l'Église orthodoxe, de l'Église catholique et des baptistes. Le 31 mars, les responsables de la mission ont rencontré le directeur régional de l'UNAIDS (ONUSIDA), programme de lutte contre le VIH de l'Organisation des Nations Unies.
Ensemble, ils ont fait part de leurs soucis aux représentants de l'UNAIDS. Dans un déclaration, signée par les représentants des trois Églises, ils déplorent notamment le fait qu'en Biélorussie, "les actions dans la prévention de l'épidémie du SIDA ne concernent que la capitale et les grands centres régionaux. La campagne reste sans aucun soutien dans ce domaine, alors qu'elle doit être une des priorités".
Les chrétiens biélorusses se disent sceptiques sur le sens du préservatif: "La distribution des préservatifs comme moyen de prévention du VIH/SIDA est douteuse, parce que, tout en aidant à éviter la contamination, elle véhicule l'idée que les rapports extra-conjugaux seraient une norme admise. Alors que ce sont de tels rapports qui sont le vrai facteur de risque".
Ensemble, ils ont fait part de leurs soucis aux représentants de l'UNAIDS. Dans un déclaration, signée par les représentants des trois Églises, ils déplorent notamment le fait qu'en Biélorussie, "les actions dans la prévention de l'épidémie du SIDA ne concernent que la capitale et les grands centres régionaux. La campagne reste sans aucun soutien dans ce domaine, alors qu'elle doit être une des priorités".
Les chrétiens biélorusses se disent sceptiques sur le sens du préservatif: "La distribution des préservatifs comme moyen de prévention du VIH/SIDA est douteuse, parce que, tout en aidant à éviter la contamination, elle véhicule l'idée que les rapports extra-conjugaux seraient une norme admise. Alors que ce sont de tels rapports qui sont le vrai facteur de risque".

Aujourd'hui, le 200e anniversaire de Nicolas Gogol, alors qu'en Russie, Ukraine et un peu partout dans le monde orthodoxe slave, on ne tarit pas d'éloges à son sujet, voici ce que j'ai trouvé dans le Wikipedia francophone au sujet d'une des œuvres spirituelles les plus importantes de l'écrivain, Passages choisis d'une correspondance avec des amis, publiée en 1846. Il est sans doute impossible de savoir qui a écrit ces lignes (c'est la particularité du Wikipedia), mais il est évident qu'il fait partie de ceux que visent les paroles du métropolite Juvénal, prononcées aujourd'hui sur la tombe de Gogol à Moscou. Mgr Juvénal affirme que nous n'avons pas encore compris la véritable portée spirituelle de l'œuvre de Gogol. L'auteur de l'article de Wikipedia semble l'avoir comprise de façon plutôt négative:
Cet ouvrage est présenté comme une suite de lettres écrites entre 1843 et 1846. Celles-ci touchent à des thèmes extrêmement variés: la littérature (Les Âmes mortes et leur véritable signification, en particulier), l'éducation des serfs par les propriétaires fonciers, les obligations des épouses de gouverneurs etc. Leur contenu est ultra-conservateur, voire obscurantiste. Elles ont le ton du prêche.
Cet ouvrage est présenté comme une suite de lettres écrites entre 1843 et 1846. Celles-ci touchent à des thèmes extrêmement variés: la littérature (Les Âmes mortes et leur véritable signification, en particulier), l'éducation des serfs par les propriétaires fonciers, les obligations des épouses de gouverneurs etc. Leur contenu est ultra-conservateur, voire obscurantiste. Elles ont le ton du prêche.
N'oubliez pas que le Grand Canon pénitentiel de saint André de Crète - un des textes fondamentaux du Carême de Pâque - est lu intégralement cette semaine, aux matines du jeudi.
Dans la tradition slave, ces matines sont souvent célébrées le soir du mercredi. Cet office est appelé "la station de sainte Marie l'égyptienne" qui sera fêtée le dimanche prochain. Le canon de saint André de Crète est lu autrement en quatre parties pendant les quatre premiers jours du Carême, pendant l'office des complies.
C'est une belle manière de commencer ce mois d'avril !
Dans la tradition slave, ces matines sont souvent célébrées le soir du mercredi. Cet office est appelé "la station de sainte Marie l'égyptienne" qui sera fêtée le dimanche prochain. Le canon de saint André de Crète est lu autrement en quatre parties pendant les quatre premiers jours du Carême, pendant l'office des complies.
C'est une belle manière de commencer ce mois d'avril !

Le père Vsévolod Tchapline, président du département Église et Société créé hier par le Saint-Synode, considère que l'un des devoirs principaux de l'Église orthodoxe est d'être à l'écoute des attentes et des préoccupations de toutes les couches de la société.
"Aujourd'hui, l'Église doit devenir vraiment populaire. Ceux des membres du clergé et des laïcs qui réfléchissent ne cessent de l'appeler de leurs vœux. L'Église doit sentir de quoi nos contemporains, le peuple, la société vivent et ce qu'ils respirent", a déclaré le père Tchapline à l'agence Interfax.
Il a exprimé sa gratitude au Synode et au patriarche "pour l'importance particulière qu'ils accordent aux rapports avec la société civiles et les organes du pouvoir législatif".
"Aujourd'hui, l'Église doit devenir vraiment populaire. Ceux des membres du clergé et des laïcs qui réfléchissent ne cessent de l'appeler de leurs vœux. L'Église doit sentir de quoi nos contemporains, le peuple, la société vivent et ce qu'ils respirent", a déclaré le père Tchapline à l'agence Interfax.
Il a exprimé sa gratitude au Synode et au patriarche "pour l'importance particulière qu'ils accordent aux rapports avec la société civiles et les organes du pouvoir législatif".

Le 1er avril, anniversaire de Nicolas Gogol, né il y a exactement 200 ans, le métropolite Juvénal de Kroutitsy, évêque de la région de Moscou et un des membres les plus anciens du Saint-Synode, a rappelé que la vie spirituelle de l'écrivain fut très intense.
Dans son homélie après l'office des défunts sur la tombe de Gogol au cimetière du monastère Novodevitchi à Moscou, Mgr Juvénal a souligné que l'écrivain "avait un désir ardent de partager sa foi avec le monde, de lui transmettre sa vision de l'aspect mystique de notre existence. Il semble qu'il n'ait jamais été entendu, mais ce n'était pas sa faute. La portée véritable de sa quête spirituelle n'a pas encore été complètement comprise".
Le métropolite a rappelé également que Gogol considérait le verbe comme le meilleur sacrifice que l'homme peut offrir à Dieu dont le Verbe est devenu chair. Mgr Juvénal s'est réjoui aussi que Gogol reste très connu en Russie: il n'y a pas un homme dans le pays, dit-il, qui ne connaisse pas son nom ou n'ait pas lu ne serait-ce que certaines de ses œuvres !
Dans son homélie après l'office des défunts sur la tombe de Gogol au cimetière du monastère Novodevitchi à Moscou, Mgr Juvénal a souligné que l'écrivain "avait un désir ardent de partager sa foi avec le monde, de lui transmettre sa vision de l'aspect mystique de notre existence. Il semble qu'il n'ait jamais été entendu, mais ce n'était pas sa faute. La portée véritable de sa quête spirituelle n'a pas encore été complètement comprise".
Le métropolite a rappelé également que Gogol considérait le verbe comme le meilleur sacrifice que l'homme peut offrir à Dieu dont le Verbe est devenu chair. Mgr Juvénal s'est réjoui aussi que Gogol reste très connu en Russie: il n'y a pas un homme dans le pays, dit-il, qui ne connaisse pas son nom ou n'ait pas lu ne serait-ce que certaines de ses œuvres !
Le Saint-Synode de l'Église orthodoxe russe a nommé le 31 mars 2009 Mgr Hilarion (Alfeyev) nouveau président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou. Il devient de ce fait membre permanent du Saint-Synode. Mgr Hilarion était jusqu'à présent ordinaire des diocèses orthodoxes russes en Autriche et en Hongrie et représentant du patriarcat de Moscou près les institutions européennes à Bruxelles. Mgr Hilarion sera le membre permanent le plus jeune du Saint-Synode !
Le père Nicolas Balachov et le père Georges Riabykh ont été nommés vice-présidents du département des relations extérieures. Le père N. Balachov était secrétaire du département aux relations avec les autres Églises orthodoxes. Il continuera à coordonner ces relations dans sa nouvelle qualité. Le père Georges Riabykh était secrétaire du département aux relations avec la société civile. Désormais, il sera chargé des rapports avec les organisations internationales et les associations publiques à l'étranger et non plus sur le territoire canonique du patriarcat de Moscou.
Le département des relations extérieures ne s'occupera plus des établissements du patriarcat de Moscou à l'étranger, ni des contacts avec les autorités civiles et la société dans les pays de l'ex-URSS. Ses principaux domaines seront donc les relations avec les autres Églises orthodoxes, les autres Églises chrétiennes et les organisations internationales.
Le père Nicolas Balachov et le père Georges Riabykh ont été nommés vice-présidents du département des relations extérieures. Le père N. Balachov était secrétaire du département aux relations avec les autres Églises orthodoxes. Il continuera à coordonner ces relations dans sa nouvelle qualité. Le père Georges Riabykh était secrétaire du département aux relations avec la société civile. Désormais, il sera chargé des rapports avec les organisations internationales et les associations publiques à l'étranger et non plus sur le territoire canonique du patriarcat de Moscou.
Le département des relations extérieures ne s'occupera plus des établissements du patriarcat de Moscou à l'étranger, ni des contacts avec les autorités civiles et la société dans les pays de l'ex-URSS. Ses principaux domaines seront donc les relations avec les autres Églises orthodoxes, les autres Églises chrétiennes et les organisations internationales.
Le Saint-Synode du patriarcat de Moscou, réuni le 31 mars 2009 pour la première fois depuis l'élection du nouveau patriarche de Moscou, a décidé de créer un département synodal "Église et Société". La décision a été formulée de la façon suivante:
"Compte tenu de la nécessité de développer, de perfectionner et de systématiser le dialogue de l'Église et de la société, il est décidé de créer un département synodal pour les relations entre l'Église et la société. Il est confié à ce département de faire le lien avec les organes du pouvoir législatif, les partis politiques, les associations professionnelles et artistiques et les autres institutions de la société civile sur le territoire canonique du patriarcat de Moscou".
Le père Vsévolod Tchapline est nommé premier président de ce nouveau département. Il était jusqu'à présent vice-président du département des relations extérieures.
Ainsi, la réforme du département des relations extérieures a bel et bien commencé. En effet, jusqu'à présent, les rapports avec la société civile étaient un des devoirs de ce département que l'actuel patriarche de Moscou a présidé pendant plus de vingt ans avant d'être élu primat de l'Église russe.
"Compte tenu de la nécessité de développer, de perfectionner et de systématiser le dialogue de l'Église et de la société, il est décidé de créer un département synodal pour les relations entre l'Église et la société. Il est confié à ce département de faire le lien avec les organes du pouvoir législatif, les partis politiques, les associations professionnelles et artistiques et les autres institutions de la société civile sur le territoire canonique du patriarcat de Moscou".
Le père Vsévolod Tchapline est nommé premier président de ce nouveau département. Il était jusqu'à présent vice-président du département des relations extérieures.
Ainsi, la réforme du département des relations extérieures a bel et bien commencé. En effet, jusqu'à présent, les rapports avec la société civile étaient un des devoirs de ce département que l'actuel patriarche de Moscou a présidé pendant plus de vingt ans avant d'être élu primat de l'Église russe.
Mgr Paolo Pezzi, archevêque catholique à Moscou, a déclaré son intention de se rendre à Valaam, un des lieux monastiques orthodoxes les plus célèbres de Russie. Mgr Pezzi se trouvait au moment de cette déclaration à Petrozavodsk, en Carélie, où il a rencontré l'archevêque orthodoxe de la ville, Mgr Manuel, et le ministre local de la politique nationale et des rapports avec les organisations religieuses A. Manine.
L'archevêque catholique a célébré la messe dans l'église catholique de Pétrozavodsk et rendu visite à l'hôpital aux paroissiens malades.
Ce n'est pas la première fois que Mgr Pezzi qui, il y a deux ans, a succédé à Mgr Tadeusz Kodrusiewicz, se rendait en Carélie. Il a déjà visité les îles Kiji et Solovki.
L'archevêque catholique a célébré la messe dans l'église catholique de Pétrozavodsk et rendu visite à l'hôpital aux paroissiens malades.
Ce n'est pas la première fois que Mgr Pezzi qui, il y a deux ans, a succédé à Mgr Tadeusz Kodrusiewicz, se rendait en Carélie. Il a déjà visité les îles Kiji et Solovki.
Le patriarche Cyrille de Moscou ira à Kiev le 27 juillet, pour la fête de saint Vladimir. Le patriarche avait promis, il y a quelques semaines, que ce serait son premier voyage en dehors de la Russie.
La date de ce voyage attendu a été décidée à la rencontre entre le patriarche Cyrille et le métropolite Vladimir de Kiev le mardi 31 mars, juste avant la réunion du Saint-Synode du patriarcat de Moscou.
Saint Vladimir est fêté dans l'Église orthodoxe le 28 juillet (15 juillet).
La date de ce voyage attendu a été décidée à la rencontre entre le patriarche Cyrille et le métropolite Vladimir de Kiev le mardi 31 mars, juste avant la réunion du Saint-Synode du patriarcat de Moscou.
Saint Vladimir est fêté dans l'Église orthodoxe le 28 juillet (15 juillet).
Aujourd'hui, l'AFP, comme la presse religieuse russe, affichait l'information suivante sur les propos de l'archevêque de Porto Alegre (sud du Brésil), Mgr Dadeus Grings, qui a affirmé que les catholiques et les gitans avaient été plus persécutés que les juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale.
"Les juifs parlent de six millions de morts. Mais combien de catholiques ont-ils été victimes de l'holocauste? Ils ont été 22 millions au total", a déclaré le religieux dans une interview à la revue brésilienne "Press & Advertising", spécialisée dans la publicité.
Dans cette interview, l'archevêque soutient également que les "juifs disent être les principales victimes de l'holocauste. Mais les principales victimes furent les gitans car ils ont été exterminés". "Mais ça, ils ne le disent pas", ajoute-t-il.
"Les juifs parlent de six millions de morts. Mais combien de catholiques ont-ils été victimes de l'holocauste? Ils ont été 22 millions au total", a déclaré le religieux dans une interview à la revue brésilienne "Press & Advertising", spécialisée dans la publicité.
Dans cette interview, l'archevêque soutient également que les "juifs disent être les principales victimes de l'holocauste. Mais les principales victimes furent les gitans car ils ont été exterminés". "Mais ça, ils ne le disent pas", ajoute-t-il.

Dans son homélie de dimanche à la cathédrale Saint-Trinité de Tbilissi, le patriarche et catholicos Élie II de Géorgie a appelé le pouvoir et l'opposition à renoncer à tout usage de la force et à chercher paisiblement des issues à la crise politique.
"La situation dans le pays est tellement tendue qu'elle s'approche de la ligne critique, a affirmé le catholicos. J'appelle aussi bien le pouvoir que l'opposition à ne pas recourir aux méthodes de force, mais au contraire, à faire, pour le bien du pays, de tels pas qui permettront de détendre l'atmosphère et à régler dans la paix les problèmes actuels".
Le patriarche a demandé à la société civile de faire preuve de sagesse et de garder le calme. Ces derniers temps, on a vu s'accroître le rôle du primat de l'Église orthodoxe de Géorgie dans la société géorgienne. Espérons que son appel sera entendu cette fois-ci également.
"La situation dans le pays est tellement tendue qu'elle s'approche de la ligne critique, a affirmé le catholicos. J'appelle aussi bien le pouvoir que l'opposition à ne pas recourir aux méthodes de force, mais au contraire, à faire, pour le bien du pays, de tels pas qui permettront de détendre l'atmosphère et à régler dans la paix les problèmes actuels".
Le patriarche a demandé à la société civile de faire preuve de sagesse et de garder le calme. Ces derniers temps, on a vu s'accroître le rôle du primat de l'Église orthodoxe de Géorgie dans la société géorgienne. Espérons que son appel sera entendu cette fois-ci également.
L'un de nos auteurs, Vladimir G., nous envoie cet article de J.F. Colosimo (La Croix, 14 mars 2009): "Le vrai héros du Carême, c'est le corps".
Pendant cinq semaines, « La Croix » publie des entretiens consacrés au Carême. Cette semaine, Jean-François Colosimo explique le sens du Carême dans la tradition orthodoxe, où le jeûne tient une place toute particulière.
La Croix : Pourquoi, dans le Carême, les orthodoxes font-ils une si grande place au jeûne ?
Jean-François Colosimo : Le Carême, c’est une règle. Une règle de jeûne, universellement acceptée, très stricte : sept semaines d’abstinence de viande, de laitage, d’œufs et de poisson. Pendant deux mois, tout le monde renonce au sang, à l’animalité. Ce jeûne est accompagné de périodes d’abstinence sévère, où l’on ne mange pas du tout : ainsi, les trois premiers jours du Carême.
Beaucoup de gens le font. Eh bien, au premier repas après la communion eucharistique qui suit ces trois jours, le goût des choses est tout à fait extraordinaire ! On éprouve dans son corps l’idée même que nous sommes dans la main de Dieu. C’est une des premières leçons du Carême.
Pendant cinq semaines, « La Croix » publie des entretiens consacrés au Carême. Cette semaine, Jean-François Colosimo explique le sens du Carême dans la tradition orthodoxe, où le jeûne tient une place toute particulière.
La Croix : Pourquoi, dans le Carême, les orthodoxes font-ils une si grande place au jeûne ?
Jean-François Colosimo : Le Carême, c’est une règle. Une règle de jeûne, universellement acceptée, très stricte : sept semaines d’abstinence de viande, de laitage, d’œufs et de poisson. Pendant deux mois, tout le monde renonce au sang, à l’animalité. Ce jeûne est accompagné de périodes d’abstinence sévère, où l’on ne mange pas du tout : ainsi, les trois premiers jours du Carême.
Beaucoup de gens le font. Eh bien, au premier repas après la communion eucharistique qui suit ces trois jours, le goût des choses est tout à fait extraordinaire ! On éprouve dans son corps l’idée même que nous sommes dans la main de Dieu. C’est une des premières leçons du Carême.
Saint Alexis de Rome dit « l'Homme de Dieu » († 412) est fêté le 17 mars en Orient et le 17 février en Occident.
Sa vie est connue par une Vie de saint Alexis, du XIe siècle. Selon la légende, Alexis, fils d’Euphémien et d’Agalé, serait un patricien romain, fiancé à une femme vertueuse qu’il convainc, le soir de ses noces, de renoncer au mariage. Il se serait embarqué vers la Syrie du Nord (actuelle Turquie) pour arriver à la ville d'Édesse (Urfa), où il se fit mendiant. Il revint dix-sept ans plus tard à Rome et fut hébergé par son père qui ne l’avait pas reconnu. Il vécut sous un escalier pendant dix-sept ans, et, à sa mort, ses parents furent prévenus par une voix céleste. Selon une autre version de la légende, il mourut en mendiant à l’hôpital d’Édesse, et révéla, avant de mourir, qu’il était d’une famille noble romaine et qu’il avait fui le mariage pour se consacrer à Dieu.
Son chef (son crane) est vénéré dans le monastère de la Sainte Laure dans le Péloponnèse. On peut voir une statue de Saint Alexis sous l’escalier de sa maison familiale dans l’église des Saints Alexis et Boniface (Chiesa dei Santi Alessio e Bonifacio), à Rome. C’est une œuvre d'Andrea Bergondi.
Sa vie est connue par une Vie de saint Alexis, du XIe siècle. Selon la légende, Alexis, fils d’Euphémien et d’Agalé, serait un patricien romain, fiancé à une femme vertueuse qu’il convainc, le soir de ses noces, de renoncer au mariage. Il se serait embarqué vers la Syrie du Nord (actuelle Turquie) pour arriver à la ville d'Édesse (Urfa), où il se fit mendiant. Il revint dix-sept ans plus tard à Rome et fut hébergé par son père qui ne l’avait pas reconnu. Il vécut sous un escalier pendant dix-sept ans, et, à sa mort, ses parents furent prévenus par une voix céleste. Selon une autre version de la légende, il mourut en mendiant à l’hôpital d’Édesse, et révéla, avant de mourir, qu’il était d’une famille noble romaine et qu’il avait fui le mariage pour se consacrer à Dieu.
Son chef (son crane) est vénéré dans le monastère de la Sainte Laure dans le Péloponnèse. On peut voir une statue de Saint Alexis sous l’escalier de sa maison familiale dans l’église des Saints Alexis et Boniface (Chiesa dei Santi Alessio e Bonifacio), à Rome. C’est une œuvre d'Andrea Bergondi.

Il venait de Palestine quand il se rendit au monastère Sainte-Catherine du Sinaï. Il avait 16 ans et il y restera 19 ans sous la direction d'un moine vénérable qui lui apprend la vie parfaite. Un jour, ce dernier l'emmène auprès d'abba Jean le Sabaïte, ascète respecté. Celui-ci verse de l'eau dans un bassin et lave les pieds de Jean, et non pas du vénérable vieillard. Interrogé pourquoi, Jean le Sabaïte répond :"J'ai lavé les pieds de l'hégoumène du Sinaï."
La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant 40 ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu'on enseigne plus par les œuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu'il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l'Égypte, il revient au Sinaï et c'est à ce moment qu'il est élu hégoumène du monastère Saint- Catherine.
Vers la fin de sa vie, on lui demande de rédiger "L'échelle sainte" (en grec "klimax", d'où son nom) qui résume l'expérience spirituelle des trois premiers siècles du monachisme. "Ne cherche pas à beaucoup parler quand tu pries, de peur que ton esprit ne se distraie à chercher les mots." disait-il souvent. Ce livre est une véritable somme de la spiritualité monastique, et lui donna dans l'Église byzantine la première place parmi les docteurs mystiques.
La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant 40 ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu'on enseigne plus par les œuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu'il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l'Égypte, il revient au Sinaï et c'est à ce moment qu'il est élu hégoumène du monastère Saint- Catherine.
Vers la fin de sa vie, on lui demande de rédiger "L'échelle sainte" (en grec "klimax", d'où son nom) qui résume l'expérience spirituelle des trois premiers siècles du monachisme. "Ne cherche pas à beaucoup parler quand tu pries, de peur que ton esprit ne se distraie à chercher les mots." disait-il souvent. Ce livre est une véritable somme de la spiritualité monastique, et lui donna dans l'Église byzantine la première place parmi les docteurs mystiques.
La paroisse orthodoxe Saint-Nicolas (patriarcat de Moscou) annonce sur son beau site Internet qu'elle souhaite se procurer un lieu de culte permanent. Jusqu'à présent, la communauté était accueillie pour ses célébrations par la paroisse anglicane Saint-Gilles.
Comme lieu permanent, la paroisse orthodoxe s'est trouvé une ancienne église anglicane. Cette église, dédiée d'ailleurs à Saint Nicolas, est située dans un quartier résidentiel d'Oxford, non loin du centre de la ville. Elle a été récemment mise en vente.
Comme lieu permanent, la paroisse orthodoxe s'est trouvé une ancienne église anglicane. Cette église, dédiée d'ailleurs à Saint Nicolas, est située dans un quartier résidentiel d'Oxford, non loin du centre de la ville. Elle a été récemment mise en vente.
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