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"PO" met en ligne un extrait de la biographie illustrée de l'archimandrite Zenon, célèbre iconographe russe contemporain
Par Aidan Hart, publié sur Orthodox arts journal / Traduction Nicolas Petit, pour "Iconophile"
Je ne suis pas donné à l'adulation: il place un fardeau trop lourd d'attente sur le malheureux destinataire, et entrave souvent l'adorateur. Mais je dois avouer que je suis à la limite de l'adulation pour les œuvres du peintre iconographe et fresquiste russe contemporain, l'archimandrite Zenon (Teodor).
De temps en temps un iconographe apparaît, qui est libre et traditionnel, un vent de fraîcheur, une nouvelle plante dans une forêt de conformité. Tel est le père Zenon. Ses œuvres résonnent d'authenticité. Il apprend constamment des différentes traditions iconographique, de l'Occident comme de l'Orient, s’exposant a de nouvelles influences - d'abord de l'école de Moscou d’André Roublev, puis d’ancienne oeuvre Byzantine, Romane, Arménienne, et plus récemment, des œuvres de Ravenne et de la Rome des premiers siècles. Il déterre les secrets des chefs-d’œuvre, les fait siennes, puis il peint sans travail apparent.
Par Aidan Hart, publié sur Orthodox arts journal / Traduction Nicolas Petit, pour "Iconophile"
Je ne suis pas donné à l'adulation: il place un fardeau trop lourd d'attente sur le malheureux destinataire, et entrave souvent l'adorateur. Mais je dois avouer que je suis à la limite de l'adulation pour les œuvres du peintre iconographe et fresquiste russe contemporain, l'archimandrite Zenon (Teodor).
De temps en temps un iconographe apparaît, qui est libre et traditionnel, un vent de fraîcheur, une nouvelle plante dans une forêt de conformité. Tel est le père Zenon. Ses œuvres résonnent d'authenticité. Il apprend constamment des différentes traditions iconographique, de l'Occident comme de l'Orient, s’exposant a de nouvelles influences - d'abord de l'école de Moscou d’André Roublev, puis d’ancienne oeuvre Byzantine, Romane, Arménienne, et plus récemment, des œuvres de Ravenne et de la Rome des premiers siècles. Il déterre les secrets des chefs-d’œuvre, les fait siennes, puis il peint sans travail apparent.
Simonos Petra, Mont Athos, 2009-2010
Un esprit de timidité, si ce n’est de peur, domine toujours la renaissance de l’icône du siècle dernier. C’est une réaction compréhensible à plusieurs siècles de non-respect de la tradition, mais c’est une réaction et non pas un état sain dans lequel rester. Alors que la plupart des iconographes contemporains rejettent le sentimentalisme et le naturalisme des œuvres du XIXe siècle, et copie les icônes byzantines et russe médiévales comme un antidote, la plupart d'entre nous sont encore essentiellement des copistes, et trop souvent de mauvais copistes. Et, naturellement, ce sont les mêmes chefs-d’œuvre qui sont sans cesse reproduit, ce qui a pour effet malheureux de rabaisser les œuvres mêmes que nous aimons tant.
Mais alors des personnes comme le père Zenon arrivent, qui ouvrent toutes grandes les portes et les fenêtres de cette salle périmée et nous montre ce qu’est une tradition authentique. Ils se nourrissent directement aux sources, recherchant l'esprit plutôt que la forme des icônes médiévales. Ils respirent la sainte lumière et l'air de la liturgie, de la prière intérieure, le Saint-Esprit de Dieu Lui-même, et unissent cette vie au grand don artistique. Être un grand iconographe nécessite non pas seulement la piété, ni seulement des compétences, mais les deux mariés.
Ces personnes s’immergent dans le corpus existant des icônes médiévales comme un étudiant devant leur maître. Mais dans la plénitude des temps, ils quittent la maison et développe leur propre voix. Ils n’ont pas la timidité de rester à jamais sous le toit de leur maître, en sécurité mais triste. Les graines sont destinés à être emportés de l'arbre mère, et à croître dans le sol frais.
Alors que le métissage produit une déformation, l’isolationnisme guinde l’iconographie. L'isolationnisme peut prendre la forme d’une croyance qu’à une époque une culture est plus spirituelle et donc la seule vraiment digne d'être imité, ou qu’être iconographe en soi c’est toujours de copier le travail des grandes époques passées. Mais des iconographes comme le père Zenon ouvrent des perspectives, et nous montrent par leur travail que la tradition est vivante. Leurs icônes sont des enfants d'une créativité nourrie non par l’isolement, mais par la Sainte Liturgie.
Depuis peu il y a des écrits en anglais à propos de l'Archimandrite Zenon, je tiens à vous présenter sa vie, ses pensées et icônes. Si un lecteur peut corriger ou ajouter à mes recherches, je lui serais très reconnaissant.
Un esprit de timidité, si ce n’est de peur, domine toujours la renaissance de l’icône du siècle dernier. C’est une réaction compréhensible à plusieurs siècles de non-respect de la tradition, mais c’est une réaction et non pas un état sain dans lequel rester. Alors que la plupart des iconographes contemporains rejettent le sentimentalisme et le naturalisme des œuvres du XIXe siècle, et copie les icônes byzantines et russe médiévales comme un antidote, la plupart d'entre nous sont encore essentiellement des copistes, et trop souvent de mauvais copistes. Et, naturellement, ce sont les mêmes chefs-d’œuvre qui sont sans cesse reproduit, ce qui a pour effet malheureux de rabaisser les œuvres mêmes que nous aimons tant.
Mais alors des personnes comme le père Zenon arrivent, qui ouvrent toutes grandes les portes et les fenêtres de cette salle périmée et nous montre ce qu’est une tradition authentique. Ils se nourrissent directement aux sources, recherchant l'esprit plutôt que la forme des icônes médiévales. Ils respirent la sainte lumière et l'air de la liturgie, de la prière intérieure, le Saint-Esprit de Dieu Lui-même, et unissent cette vie au grand don artistique. Être un grand iconographe nécessite non pas seulement la piété, ni seulement des compétences, mais les deux mariés.
Ces personnes s’immergent dans le corpus existant des icônes médiévales comme un étudiant devant leur maître. Mais dans la plénitude des temps, ils quittent la maison et développe leur propre voix. Ils n’ont pas la timidité de rester à jamais sous le toit de leur maître, en sécurité mais triste. Les graines sont destinés à être emportés de l'arbre mère, et à croître dans le sol frais.
Alors que le métissage produit une déformation, l’isolationnisme guinde l’iconographie. L'isolationnisme peut prendre la forme d’une croyance qu’à une époque une culture est plus spirituelle et donc la seule vraiment digne d'être imité, ou qu’être iconographe en soi c’est toujours de copier le travail des grandes époques passées. Mais des iconographes comme le père Zenon ouvrent des perspectives, et nous montrent par leur travail que la tradition est vivante. Leurs icônes sont des enfants d'une créativité nourrie non par l’isolement, mais par la Sainte Liturgie.
Depuis peu il y a des écrits en anglais à propos de l'Archimandrite Zenon, je tiens à vous présenter sa vie, ses pensées et icônes. Si un lecteur peut corriger ou ajouter à mes recherches, je lui serais très reconnaissant.
Photo par Jim Forest: Scènes de l'Ancien Testament, Cathédrale Feodorovsky , St-Pétersbourg
Une courte biographie
Père Zenon - dans le monde Vladimir Theodore - est né dans le sud de l'Ukraine en 1953, de sorte que les trente-huit premières années de sa vie se sont passées sous le communisme athée. Lui et sa famille vivait dans la région de Mykolaïv près d'Odessa, dans la petite ville de Pervomaïsk. Dans les interviews, il a souvent souligné que cette région était autrefois une très grande colonie Grecque. Ce fait pourrait bien avoir influencé sa convictions que l'iconographie russe doit retourner à ses racines byzantines si elle souhaite atteindre à nouveau les sommets qu'elle a obtenu au XVe siècle.
Son père était éleveur et sa mère comptable. Comme c’était souvent le cas à l'époque communiste, il a été emmené par sa grand-mère à l'église étant enfant. Les parents pouvaient perdre leur emploi pour une telle chose, mais le KGB pensait que les baboushkas retraités étaient assez inoffensives!
Père Zenon rappelle dans une interview avec Mikhail Serdyukova qu’ étant à l'église à l'âge de trois ans, il a été frappé par la beauté et le mystère des offices : «Je me souviens très bien recevoir la communion, et l'atmosphère inhabituelle - je n’avais jamais vu une telle chose nulle part ailleurs: calme, beau et inexplicablement mystérieux. Même la discipline liturgique que j’ai connu me semblait spéciale: elle forme le caractère, mais sans faire peur. Je me souviens encore la merveilleuse odeur de l'encens, et le prêtre nommé Père Jean ... " Cette église a été détruite plus tard dans les années 1960 par le gouvernement soviétique locale.
Vladimir avait toujours dessiné, c’était donc sans surprise qu’en 1969, il s’inscrit pour des études d'art à l'École d'Art d'Odessa dans le département de la peinture. La formation de l'art russe, bien que quelque peu académique, est généralement très approfondie, et cela à muni le futur père Zenon d’une grande facilité comme dessinateur.
C’est dans sa seconde année à l'école d'art qui, à travers l'art, il a rencontré les Évangiles et a trouvé la foi orthodoxe pour lui-même. "Chaque artiste est confronté à des œuvres de maîtres anciens dont les sujets sont basés sur la Bible, les récits évangéliques. Ces peintures, soulèvent des questions dont les réponses peuvent seulement être données par les Évangiles. L'Évangile est la pierre angulaire, l'ABC de la compréhension de la vie humaine en général et de la peinture en particulier. Sans les Évangiles, les anciens maîtres sont incompréhensibles ". (1)
Après sa conversion, il a commencé à peindre des icônes. C’était une occupation dangereuse puisque les icônes pouvaient être interprétées par les autorités comme une forme de propagande anti-soviétique, une infraction punissable. Il n'y avait aucun enseignant d’iconographie disponibles à Odessa, ainsi Vladimir était obligé d'apprendre en copiant à partir de reproductions et des originaux médiévaux, bien que très peu de bons exemples existaient où il vivait.
Après ses études à l'école d'art d'Odessa, Vladimir remplies ses deux années obligatoires dans l'armée soviétique, mais en tant que peintre. Puis en 1976, il devint moine au monastère de la Dormition des grottes de Pskov (aussi connu comme Pskov-Pechory ou Pskov-Pechersky). Plutôt non traditionnel pour sa précipitation, trois semaines seulement après son arrivée l'abbé nommé Vladimir pris ses vœux et l’ordonna au diaconat. Quarante jours plus tard, le diacre Zenon était ordonné prêtre. On a l'impression à partir d’interview données plus tard qu'il aurait préféré ne pas être ordonnés, mais rester concentré sur son ministère d’iconographe. Mais il se sentait obligé d'obéir à son abbé, ou de risquer d'être appeler à quitter le monastère pour désobéissance.
La peinture d’icône de l'archimandrite Zenon a continué de se renforcer. Après deux ans et demi au monastère, en 1979, le Patriarche Pimen, lui-même un expert et connaisseur de l'iconographie, a appelé ce nouvel iconographe prometteur à la Laure de la Trinité-Saint-Serge. Ce monastère est le coeur spirituel de l'église russe, et à ce moment était aussi le siège du Patriarcat. Père Zenon y a vécu pendant les sept prochaines années, où il a créé, entre autres choses, l'iconostase pour la chapelle de la crypte de la cathédrale de la Dormition.
En 1983, le Patriarche demandait au père Zenon de participer à la restauration et à l’ornementation du monastère saint-Daniel à Moscou, qui cette année est devenu la résidence officielle du Patriarche de Moscou et le siège de l'église orthodoxe russe. Il a vécu et travaillé à Danilov pendant un an tout en peignant les icônes pour l’église de la crypte.
Une courte biographie
Père Zenon - dans le monde Vladimir Theodore - est né dans le sud de l'Ukraine en 1953, de sorte que les trente-huit premières années de sa vie se sont passées sous le communisme athée. Lui et sa famille vivait dans la région de Mykolaïv près d'Odessa, dans la petite ville de Pervomaïsk. Dans les interviews, il a souvent souligné que cette région était autrefois une très grande colonie Grecque. Ce fait pourrait bien avoir influencé sa convictions que l'iconographie russe doit retourner à ses racines byzantines si elle souhaite atteindre à nouveau les sommets qu'elle a obtenu au XVe siècle.
Son père était éleveur et sa mère comptable. Comme c’était souvent le cas à l'époque communiste, il a été emmené par sa grand-mère à l'église étant enfant. Les parents pouvaient perdre leur emploi pour une telle chose, mais le KGB pensait que les baboushkas retraités étaient assez inoffensives!
Père Zenon rappelle dans une interview avec Mikhail Serdyukova qu’ étant à l'église à l'âge de trois ans, il a été frappé par la beauté et le mystère des offices : «Je me souviens très bien recevoir la communion, et l'atmosphère inhabituelle - je n’avais jamais vu une telle chose nulle part ailleurs: calme, beau et inexplicablement mystérieux. Même la discipline liturgique que j’ai connu me semblait spéciale: elle forme le caractère, mais sans faire peur. Je me souviens encore la merveilleuse odeur de l'encens, et le prêtre nommé Père Jean ... " Cette église a été détruite plus tard dans les années 1960 par le gouvernement soviétique locale.
Vladimir avait toujours dessiné, c’était donc sans surprise qu’en 1969, il s’inscrit pour des études d'art à l'École d'Art d'Odessa dans le département de la peinture. La formation de l'art russe, bien que quelque peu académique, est généralement très approfondie, et cela à muni le futur père Zenon d’une grande facilité comme dessinateur.
C’est dans sa seconde année à l'école d'art qui, à travers l'art, il a rencontré les Évangiles et a trouvé la foi orthodoxe pour lui-même. "Chaque artiste est confronté à des œuvres de maîtres anciens dont les sujets sont basés sur la Bible, les récits évangéliques. Ces peintures, soulèvent des questions dont les réponses peuvent seulement être données par les Évangiles. L'Évangile est la pierre angulaire, l'ABC de la compréhension de la vie humaine en général et de la peinture en particulier. Sans les Évangiles, les anciens maîtres sont incompréhensibles ". (1)
Après sa conversion, il a commencé à peindre des icônes. C’était une occupation dangereuse puisque les icônes pouvaient être interprétées par les autorités comme une forme de propagande anti-soviétique, une infraction punissable. Il n'y avait aucun enseignant d’iconographie disponibles à Odessa, ainsi Vladimir était obligé d'apprendre en copiant à partir de reproductions et des originaux médiévaux, bien que très peu de bons exemples existaient où il vivait.
Après ses études à l'école d'art d'Odessa, Vladimir remplies ses deux années obligatoires dans l'armée soviétique, mais en tant que peintre. Puis en 1976, il devint moine au monastère de la Dormition des grottes de Pskov (aussi connu comme Pskov-Pechory ou Pskov-Pechersky). Plutôt non traditionnel pour sa précipitation, trois semaines seulement après son arrivée l'abbé nommé Vladimir pris ses vœux et l’ordonna au diaconat. Quarante jours plus tard, le diacre Zenon était ordonné prêtre. On a l'impression à partir d’interview données plus tard qu'il aurait préféré ne pas être ordonnés, mais rester concentré sur son ministère d’iconographe. Mais il se sentait obligé d'obéir à son abbé, ou de risquer d'être appeler à quitter le monastère pour désobéissance.
La peinture d’icône de l'archimandrite Zenon a continué de se renforcer. Après deux ans et demi au monastère, en 1979, le Patriarche Pimen, lui-même un expert et connaisseur de l'iconographie, a appelé ce nouvel iconographe prometteur à la Laure de la Trinité-Saint-Serge. Ce monastère est le coeur spirituel de l'église russe, et à ce moment était aussi le siège du Patriarcat. Père Zenon y a vécu pendant les sept prochaines années, où il a créé, entre autres choses, l'iconostase pour la chapelle de la crypte de la cathédrale de la Dormition.
En 1983, le Patriarche demandait au père Zenon de participer à la restauration et à l’ornementation du monastère saint-Daniel à Moscou, qui cette année est devenu la résidence officielle du Patriarche de Moscou et le siège de l'église orthodoxe russe. Il a vécu et travaillé à Danilov pendant un an tout en peignant les icônes pour l’église de la crypte.
Archimandrite Zenon en 2008 à la Cathédrale St-Nicolas, Vienne
C’est en travaillant à Danilov qu'il a commencé à être considéré comme l'un des principaux iconographes en Russie, et aussi à recevoir des invitations de l'étranger. Toutefois, il a trouvé la vie trépidante de ces deux grands monastères difficiles, et après un an a demandé une bénédiction pour retourner au monastère de Pskov-Pechersky, où il est allé en 1985.
Durant les huit prochaines années tout en vivant à Pskov il travaillait principalement sur les commandes de divers iconostases. De 1985 à 1986, par exemple, il peint l'église de Sainte-Parascève dans la région de Vladimir, puis les icônes de l'iconostase de la chapelle du martyr Cornelius à l’intérieur de l'église Saint-Nicolas dans son monastère..... SUITE
C’est en travaillant à Danilov qu'il a commencé à être considéré comme l'un des principaux iconographes en Russie, et aussi à recevoir des invitations de l'étranger. Toutefois, il a trouvé la vie trépidante de ces deux grands monastères difficiles, et après un an a demandé une bénédiction pour retourner au monastère de Pskov-Pechersky, où il est allé en 1985.
Durant les huit prochaines années tout en vivant à Pskov il travaillait principalement sur les commandes de divers iconostases. De 1985 à 1986, par exemple, il peint l'église de Sainte-Parascève dans la région de Vladimir, puis les icônes de l'iconostase de la chapelle du martyr Cornelius à l’intérieur de l'église Saint-Nicolas dans son monastère..... SUITE
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 20 Décembre 2021 à 19:34
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