Colloque de l’ITO: “Un siècle de présence orthodoxe en France : Chaos récurrent et promesses d’unité ecclésiale”, 3 – 4 décembre 2021
À l’occasion du centenaire du décret du patriarche de Moscou saint Tikhon instituant le métropolite Euloge administrateur des paroisses orthodoxes russes de l’étranger, l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, organise un colloque universitaire les 3 et 4 décembre 2021. L’intitulé du colloque est “Un siècle de présence orthodoxe en France: Chaos récurrent et promesses d’unité ecclésiale”. Il aura lieu sur place et via zoom.

Ce colloque se propose de revisiter la question de la présence des communautés orthodoxes en France, de leur inculturation et de leur quête d’unité dans une diversité ethnique et culturelle. Tandis qu’avait commencé à émerger, il y a plus de cinquante ans, la conscience d’une Église locale, permettant la mise en place de l’A.E.O.F. comme instance de concertation épiscopale, les nouvelles migrations d’orthodoxes après la fin de l’empire soviétique (1991) ont revigoré le sentiment de diaspora.

De fait, toutes les communautés restent organisées en des juridictions épiscopales plus ou moins concurrentes, dépendant des Églises autocéphales selon une logique de diaspora. Ce colloque analysera l’histoire de l’organisation des communautés diverses et des esquisses d’unification, puis l’ancrage ecclésiologique d’une recherche de l’unité, enfin les défis qui se posent à cette Église orthodoxe en France, une et diverse.

Le PROGRAMME du colloque est consultable en cliquant >>> ICI.

Pour s’inscrire remplissez le formulaire ci-dessous, ou rendez-vous sur le lien d’inscription en cliquant >>>ICI.

Vendredi 3 décembre 2021

9h30 Accueil et ouverture du colloque
Chancelier Mgr JEAN – Doyen Michel STAVROU

Conférence introductive :
10h00 – 10h45
« Église, nation et "diaspora" : une approche théologique »

Pantélis KALAITZIDIS (directeur de l’Académie théologique de Volos, Grèce)
10h45-11h00 discussion

1re session : Historique des modes d’organisation de quelques communautés
orthodoxes implantées en France

11h00 – 11h40

« Les communautés orthodoxes russes en France »
Catherine GOUSSEFF (chercheur permanent au CNRS, membre de l'Institut d'études russes,
est-européennes et asiatiques, EHESS, Paris)
11h40 – 12h00 discussion
12h00 – 14h00 pause déjeuner


14h00 – 14h30
« Les communautés orthodoxes grecques en France »
Konstantin VETOCHNIKOV (historien de l’Église, Bibliothèque byzantine du Collège de
France)

14h30 – 15h00
« Les communautés orthodoxes roumaines en France »
P. Julien NISTEA (prêtre à la cathédrale des Saints-Archanges de l’Église orthodoxe
roumaine de Paris)
15h00 – 15h30
« Heurs et malheurs de l’’Église Catholique Orthodoxe de France’ »
Alexis VAN BUNNEN (historien et exégète, Bruxelles)
15h30 -16h00 Pause café
16h00 – 16h45
« Une quête difficile de l’unité interorthodoxe en France : collaborations et
concurrences »
Vassilis PNEVMATIKAKIS (enseignant en géopolitique à l’université de Thrace, Komotini,
Grèce)
16h45 – 17h00 discussion
17h00 – 17h30
« Un effort pour dépasser les murs des juridictions : la Fraternité orthodoxe en France »
P. Jean GUEIT (enseignant émérite à l’Université d’Aix-en-Provence, consultant permanent
du Conseil diocésain de l’Archevêché de tradition russe en Europe occidentale)

Samedi 4 décembre 2021
9h00 Accueil et ouverture de la 2e journée

Session 2 : Réflexions théologiques sur l’Église orthodoxe en France :
Archipel de communautés ethniques ou Église locale une et diverse ?
9h30 – 10h00
« L’approche ecclésiologique de Serge Boulgakov »
Brandon GALLAHER (maître de conférences en théologie systématique, Université d'Exeter,
G.-B.)
10h00 – 10h30
« L’approche ecclésiologique d’Alexandre Schmemann »
Daniel STRUVE (professeur à l’Université Paris-Diderot, membre du Conseil diocésain de
l’Archevêché de tradition russe en Europe occidentale)
10h30 – 11h00
« L’approche ecclésiologique d’Eugraph Kovalevsky »
Natalie DEPRAZ (professeur de philosophie à l'Université de Rouen)

11h00 – 11h30 Pause café
11h30 – 12h00
« La vision ecclésiologique de Cyrille Argenti et d’Olivier Clément »
Daniel LOSSKY (secrétaire général de la Fraternité orthodoxe en Europe occidentale,
Bruxelles)
12h00 – 12h30
« Les thèses en présence dans le débat pour résoudre le problème de la "diaspora" »
Michel STAVROU (professeur de dogmatique à l’I.T.O. Saint-Serge)
12h30 – 14h00 Pause déjeuner
3e session : Approches thématiques de la vie ecclésiale en Occident
14h00 – 14h30
« L’expérience du dialogue œcuménique pour l’orthodoxie en France »
Julija NAETT VIDOVIC (professeur de patrologie à l’I.T.O. Saint-Serge, assesseur
orthodoxe de l’Institut supérieur d’études œcuméniques [ISEO], Paris)
14h30 – 15h00
« Le rayonnement des mouvements de jeunesse orthodoxe en France »
Cyrille SOLLOGOUB (professeur au CNAM, président de l’ACER-MJO)
15h00 – 15h30
« Langues liturgiques et transmission de la foi orthodoxe en Occident »

P. Nicolas TIKHONCHUK (prêtre à la paroisse orthodoxe Notre-Dame-Joie-des-Affligés-etSainte-Geneviève, Paris)
15h30 – 16h00
« L’adaptation des textes liturgiques au contexte de la modernité occidentale »
Olga LOSSKY-LAHAM (écrivain, secrétaire de la revue de théologie orthodoxe Contacts)

16h00 – 16h30 Pause café

Table ronde conclusive
« Comment dépasser le séparatisme entre les juridictions orthodoxes ? »
16h30 – 18h00
Julija NAETT VIDOVIC (modératrice)

Novak BILIC
(secrétaire du diocèse de l’Eglise orthodoxe serbe en France)
p. Nicolas CERNOKRAK (doyen émérite de l’I.T.O. Saint-Serge, prêtre de paroisse)
Georges EL HAGE (doctorant au Theologicum, à l’I.C.P.)
p. Jean GUEIT (consultant permanent du Conseil diocésain de l’Archevêché)
Olga LOSSKY-LAHAM (écrivain, secrétaire de la revue de théologie orthodoxe Contacts)

Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 27 Novembre 2021 à 20:43 | 11 commentaires | Permalien


Commentaires

1.Posté par pere jean le 28/11/2021 23:03
LA SITUATION DES EGLISES ORTHODOXES EN FRANCE EST ACANONIQUE.

ELLE N A RIEN A AVOIR AVEC CELLE DES PAYS ORTHODOXES.

LA NOTION DE TERRITORIALITE CHERE AUX CANONS NE PEUT ETRE APPLIQUEE.NOUS AVONS UNE DIZAINE DE JURIDICTIONS QUI NE COOPERENT PAS ENSEMBLE SURTOUT QUE LA SITUATION S EST TRAGIQUEMENT AGGRAVEE AVEC LE SCHISME UKRAINIEN QUI MET EN EVIDENCE DEUX ECCLESIOLOGIES DIFFERENTES QUI ETAIENT OFFICIEUSES.

LA PRIMAUTE DE CONSTANTINOPLE EST ELLE HONORIFIQUE OU AUSSI D AUTORITE AVEC DROIT D APPEL ET DE JUGEMENT ?.TANT QUE CELA NE SERA PAS TRANCHE TOUTE DISCUSSION JURIDICTIONNELLE OU CANONIQUE SERA VAINE .

2.Posté par Alexandre le 29/11/2021 12:07
Bon vent à ce colloque. Pour qu’il parte sur de bonnes bases, je voudrais signaler une erreur dans le chapeau introductif : le décret de 1921 du patriarche Tikhon dont il est fait mention institue le métropolite Euloge administrateur des paroisses orthodoxes russes « d’Europe occidentale » et non « de l’étranger ».

En effet ce décret du patriarche (comme l’écrit Mgr Euloge lui-même dans ses Mémoires p 315) s’appuie sur (et conforte) la décision de la Haute Administration de l’Église russe à l’étranger présidée par Mgr Antoine Khrapovitsky, lequel avait nommé Mgr Euloge comme son diocésain d’Europe occidentale dès le 2/10/1920, décision confirmée à Constantinople par la Haute Administration ecclésiale russe à l’étranger au début 1921. La rupture Euloge /Khrapovitsky n’intervient qu’en 1926.

Je ne sais trop pourquoi l’Institut Saint-Serge s’évertue depuis toujours à jeter un voile pudique sur ce fait historique. Ce n’est pas en tordant la réalité que l’on pourra rassembler la diaspora, ce qui semble être le but louable de ce colloque…

3.Posté par Grégoire le 02/12/2021 21:59 (depuis mobile)
Les femmes n''ont pas à donner des points de vues lors de debats théologiques... On est pas chez les protestants !




4.Posté par Daniel Loit le 03/12/2021 15:11
@ Grégoire (3)

Je préfère écouter une femme intelligente et instruite qu'un homme stupide.

5.Posté par Nicodème le 05/12/2021 20:30
Mouais , mais on se croirait chez les muz ...

6.Posté par Gregoire le 15/12/2021 09:42
Je veux aussi que les femmes, vêtues d'une manière décente, avec pudeur et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d'or, ni de perles, ni d'habits somptueux, mais qu'elles se parent de bonnes oeuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu. Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite, s'est rendue coupable de transgression. Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans la charité, et dans la sainteté.

Epitre à Timothée. (2-8-15)

L'opinion de Saint Paul sur ce sujet est assez clair: "Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme".

7.Posté par Nicodème le 15/12/2021 19:47
Shaül de Tarse était un juif pharisien . Je pose la question , au nom de quoi nous , les gallo-romains mâtinés de wisigoths , d'ostrogoths , et d'"autres goths" (selon Astérix) devrions nous adopter la vision ultra-macho de ce juif ? Parce qu'il aurait été bouleversé lors du chemin de Damas ? parce que le Christ , un juif galiléen , lui serait apparu ? Et lui aurait tout expliqué ? Mais alors pourquoi réserver la divulgation (partielle) des mystères à un juif pharisien , qui avait persécuté les "chrétiens" , càd des juifs messianiques , et non à tout homme de bonne volonté sur la planète ?
Sur le fond , je suis d'accord sur la question de la tenue . C'est d'ailleurs à cause des tenues passablement indécentes et provocantes de trop de nos filles que l'islam avance chez nous . Ce n'est pas la seule raison , mais cela y contribue . Cela dit , sur la question de l'"instruction" ou de l'expression , je suis en désaccord , et je préfère la tradition celte , qui au contraire de la tradition romaine , et juive , et bien sûr muz ,donnait toute sa place à la femme . Les mentalités sémitiques , ras l'bol! ! je précise que je ne suis aucunement "féministe" , en ce sens que le féminisme actuel est une machine de guerre contre l'homme , en tant que père , mari frère et fils , et qui doit être éradiqué de notre société . C'est une machine satanique qui vise à séparer les deux moitiés de l'être humain , et , de ce fait , faire du monde un enfer ( homo , de surcroît) .
J'ajoute que baser cette dysmétrie entre l'homme et la femme sur le récit de la Génèse , cela pouvait se comprendre pour un homme comme Shaül de Tarse , mais pour nous qui savons que , même inspirés , ces textes relèvent de la légende , de la mythologie hébraïque , cette justification est nulle et non avenue .

8.Posté par Gregoire le 16/12/2021 21:37
Comme me le disait un archevêque de ROCOR . Quand on commence à parler de mythologie pour l'ancien testament qui est l'œuvre de Dieu, c'est que l'on suit le mauvais chemin..

En plus, certains récits païens justement étonnement ont d'étranges similitudes avec la Genèse hébraïque. Je pense particulièrement au premier chapitre des métamorphoses d'Ovide qui traitent d'une grande inondation. On pourrait aussi parler de l'Atlantide de Platon sur ce sujet.

A mon avis, tu devrais relire le discours de Saint Paul à l'Aéropage.
Paul, debout au milieu de l'Aréopage, dit : « Athéniens, je vous trouve à tout point de vue extrêmement religieux.
23En effet, en parcourant votre ville et en examinant les objets de votre culte, j'ai même découvert un autel avec cette inscription : ‘A un dieu inconnu’ ! Celui que vous révérez sans le connaître, c'est celui que je vous annonce.
24Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s'y trouve est le Seigneur du ciel et de la terre, et il n'habite pas dans des temples faits par la main de l'homme.
25Il n'est pas servi par des mains humaines, comme s'il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, le souffle et toute chose.
26Il a fait en sorte que tous les peuples, issus d'un seul homme, habitent sur toute la surface de la terre, et il a déterminé la durée des temps et les limites de leur lieu d’habitation.
27Il a voulu qu'ils cherchent le Seigneur et qu'ils s'efforcent de le trouver en tâtonnant, bien qu'il ne soit pas loin de chacun de nous.
28En effet, c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être, comme l’ont aussi dit quelques-uns de vos poètes : ‘Nous sommes aussi de sa race.’ Cela renvoie probablement au passage de fils de Dieu juste avant Noé dans la Genèse.

Je pense que Saint Paul reconnaissait très bien que l'esprit saint avait influé sur les païens.
https://orthodoxologie.blogspot.com/2021/03/philosophes-grecs-prefigurant-le-christ.html

L'opposition paganisme-judaisme est comme toujours de la dialectique dont justement la venu de Christ avait permis de sortir.

9.Posté par Nicodème le 17/12/2021 08:45
@Grégoire : pour aller dans votre sens ; il y a aussi la légende mésopotamienne de Gilgamesch ... Certains géologues émettent l'hypothèse que la catastrophe géante qu'aurait été le déversement de la Méditerranée dans la cuvette de ce qui allait devenir la Mer Noire, lorsque l'isthme du Bosphore a sauté , serait la source historique de cette légende . Cela pour dire que , en effet , on trouve des légendes semblables aux récits de l'AT dans de nombreuses traditions "païennes" . Et même des figures christiques (Osiris ?) . L'Esprit souffle où il veut (Yeshouah à Nicodème) . Et justement , il ne faut pas prendre au pied de la lettre les écrits de l'AT , qui sont inspirés , et non donnés tel quel comme le croient stupidement les muz à propos du coran . J'ai lu deux ou trois bouquins de Thomas Römer , un exégète "protestant" (arrrgghhhh!). Interessant . Cela permet de prendre du recul . Dans ma phase judeomaniaque , il y a 1 à 2 décennies , je m'étais plongé à corps perdu dans les causeries de l'excellen t Josy Eisenberg et j'avoue que cela m'a énormément éclairé sur les mystères de l'AT .

Je vous remercie du renvoi vers le discours aux athéniens de "St Paul" . Décidément , il y a à boire et à manger ds St Paul ...J'adhère à votre conclusion selon laquelle la venue du Christ nous aura permis de sortir de la dialectique paganisme-judaïsme . Mais pour moi , cela a peut-être marché , mais il y a longtemps. Aujourd'hui , c'est le contraire , j'y retourne . Sans doute est-ce là le "mauvais chemin" dont parle cet évêque de ROCOR (que fait-il encore dans cette galère ? au lieu de rejoindre le Patriarcat de Moscou ?) . Mais je ne peux pas me forcer à "croire" des choses auxquelles je n'adhère pas , ou à ne pas croire en des choses que je tiens pour vraies , à tort ou à raison. Encore que là , il n'y en a pas beaucoup , tant je suis dans le doute . Ah si ! le linceul de Turin, que je tiens pour authentique à 99,99% ...Donc la Résurrection de cet homme "qu'on appelle Christ" (Pline le jeune) . Quand je dis "homme" , cela ne veut pas dire que je rejetterais sa "divinité" . Je ne suis pas arien , Dieu m'en garde , tout juste sabellianiste (mais pour moi qui prétend savoir ce qu'il y a ds ma tête , plutôt "semi-sabellianiste" ) , comme un autre intervenant, qui voulait être bienveillant me l'a reproché . Quant à la divinité du Christ , disais-je , j'ai reçu la grâce de le croire lors d'un pélé "tradi" à Chartres à la fin des années 80 . Les voies de Dieu sont impénétrables .

Post-scriptum : je ne suis pas "tridentin": je ne veux pas partager avec eux la responsabilité du sang des torturés de l'Inquisition ou de la répression des albigeois , par exemple .. ni adhérer à leur marcionisme larvé .

10.Posté par Gregoire le 20/12/2021 22:47
Sur ce sujet, si les grecs sont l'un des premiers peuples païens à avoir embrassé la foi chretienne. Ce n'est pas un hasard. Car c'est le Christ qui donne la réponse à toute les passions qui sont décrites dans les tragédies grecques de l'antiquité.

Tragédies qui sont malheureusement revenues dans la littérature arthurienne au Moyen Age avec notamment Tristan et Iseult ou lancelot et Guenièvre et qui probablement marque le début de l'éloignement de l'Occident vis à vis de la foi orthodoxe (le moment ou la passion prend le pas sur le salut).

11.Posté par Nicodème le 22/12/2021 12:02
A propos des "passions" , il me revient une formule de je ne sais plus quel philosophe ou théologien allemand : "Es ist die Leidenschaffen , die Leiden schaffen" . Qu'on me pardonne les fautes d'orthographe , voire de syntaxe , car mon allemand est loin . Ce qui signifie : "Ce sont les passions qui créent les souffrances" .

12.Posté par pere jean le 23/12/2021 17:39
LES GRECS ETAIENT PARFAITEMENT AU COURANT DE LA REVELATION DU SINAI ET CONNAISSAIENT TRES BIEN LE TEMPLE DE JERUSALEM CAR LA PALESTINE QU HERODOTE MENTIONNE NE SE TROUVAIT PAS EN CHINE.ST.JUSTIN LE PHILOSOPHE NOUS APPREND QUE LES GRECS HAISSAIENT INSATIABLEMENT LE GRAND MOISE A UN TEL POINT QUE CELUI QUI L EVOQUAIT ETAIT CONDAMNE A MORT ET IL AFFIRME QUE SOCRATE A ETE CONDAMNE POUR CELA.LE 1ER A PARLER DES JUIFS EST HECATEE D ABDERE LETTRE D ALEXANDRE LE GRAND QUI FUT RECU EN GRANDE POMPE DANS TEMPLE PAR LE GRAND PRETRE SIMON QUI LUI MONTRA LA PROPHETIE DE DANIEL QUI LE CONCERNAIT..ET LA PREUVE C EST QUE LA FAMEUSE ETOILE DE DAVID EST UN SYMBOLE GREC CAD 2 DELTA ENTRELACES QUI N ONT RIEN DE COMMUN AVEC LE DALET DE L HEBREU.

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