Éditions des Syrtes : AVANT PROGRAMME Février-mars 2015
Irinarkh CHEMANOVSKI

Journal de Sibérie (1903 - 1911)
Traduit du russe par Catherine le Roux et Eva Toulouze

En librairie en mars 2015

Ivan Chemanovski, Irinarkh de son nom orthodoxe, est envoyé à Obdorsk en Sibérie orientale entre 1897 et 1910 pour évangéliser les populations autochtones. Partant avec pour seule documentation quelques récits d’explorateurs, c’est un univers entièrement nouveau qu’il découvre. Ces chroniques révèlent une personnalité exceptionnelle : un prêtre russe con-vaincu du bien-fondé de sa mission mais aussi et surtout un anthropologue, un explorateur et un véritable écrivain. Ce témoignage littéraire et ethnographique rassemble les textes qu’il envoie régulièrement à la revue Le Messager orthodoxe (1903-1910).

Les treize années qu’il passe à Obdorsk sont prolifiques: il développe une école pour garçons et filles, ouvre un foyer d’accueil pour les enfants d’âge préscolaire et un hôpital, fonde une bibliothèque et un musée en 1906, édite des livres dans les langues vernaculaires, organise des campagnes de vaccination, défend la cause des autochtones dans la société civile. Il crée enfin une commission chargée d’impulser la publication de traductions dans les langues vernaculaires, le khanty et le nenets (appelés ici ostiak et samoyède)....SUITE PJ en PDF
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Hiéromoine Grégoire du mont Athos
La divine liturgie de saint Jean Chrysostome

Traduit du grec par Bernard Le Caro

La divine liturgie selon saint Jean Chrysostome est l’office le plus fréquemment célébré dans l’Église orthodoxe qui en compte essentiellement trois: celui de saint Basile (utilisé une dizaine de fois dans l'année, surtout pendant le Grand Carême et à la Saint-Basile), la liturgie des Présanctifiés (en semaine, durant le Grand Carême), et la liturgie de saint Jean Chrysostome, utilisée tout le reste de l'année.

Jean Chrysostome ou Jean « Bouche d’Or », moine puis prêtre à An-tioche, est devenu évêque de Constantinople à la fin du IVe siècle. Entré en conflit avec les autorités impériales et une bonne partie de l'épiscopat de l'empire d'Orient, il est mort en exil. Trente ans plus tard, ses restes sont accueillis triomphalement dans la capitale. Il devient alors l'un des saints les plus vénérés de l'Église universelle....SUITE PJ en PDF

Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 5 Février 2015 à 13:23 | 0 commentaire | Permalien



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