Laurence Guillon : La mort des coquillages
C’est avec consternation, et une sorte de terreur sacrée, que j’ai appris l’incendie de la cathédrale de Nantes et la disparition de son orgue vieux de 400 ans.

Quand Notre Dame a brûlé, j’ai su que c’était le début de la fin, que tout l’héritage de la France encore miraculeusement conservé allait subir le sort de celui de la sainte Russie, qui n’existe plus qu’à l’état résiduel, et que risquent d'achever l’incurie, l’ignorance, la cupidité et la stupidité. La différence est que ce qu’il reste de Russes se mobilise avec l’Eglise orthodoxe pour tenter d’en sauver les vestiges, car ils sont considérés par ce petit troupeau comme quelque chose de sacré, il arrive même que des incroyants y tiennent encore par patriotisme.

Alors qu’en France, il serait plus difficile, me semble-t-il, de regrouper la résistance autour des merveilles léguées par nos ancêtres, et qui sont non seulement belles, mais pleines de sens, car tout ce qu’on faisait au moyen âge était avant tout porteur de sens. Chaque sanctuaire était en soi un livre saint et un reliquaire, chaque sanctuaire est un message qui nous est adressé à travers les siècles, et je ne parle pas de la dimension mystérieuse qui, en Russie, fait même des icônes ou églises décadentes, qui ont perdu ce sens, et ne le transmettent pas, lorsqu'elles sont « imprégnées de prières », comme on dit ici, des objets chargés. Ainsi en est-il de l’icône sentimentale, académique et opaque devant laquelle priait saint Séraphin de Sarov.

 Laurence Guillon : La mort des coquillages
Dans cette perspective, le père Placide, par exemple, se souciait peu de l’authenticité des reliques car, disait-il, à partir du moment où des générations de gens avaient prié devant elles et les avaient honorées pendant des siècles, elles avaient quasiment la même vertu que des reliques authentiques. On voit même ici des copies d’icônes miraculeuses disparues prendre les vertus des originaux.

Même quand on ne comprend pas, faute d’avoir été élevé dans cet esprit, l’importance et le sens de ce langage visuel de l’architecture sacrée et de l’iconographie, il arrive qu’on le reconnaisse, c’était ce qui m’était arrivé dans ma jeunesse. On devine à l’harmonie générale de ce qu’on voit, qu’il s’agit d’un langage cohérent qui parle à l’âme sans passer par les mots, mais que les mots ou plus simplement le Verbe et l’Ecriture sous-tendent.

Les instits et les profs laïcards nous disaient que c’était pour instruire de l’histoire sainte les analphabètes médiévaux, comme les affiches de propagande soviétique cherchant à persuader le paysan russe de l’importance de la mécanisation, ce qui prouve à quel point cet art leur passait déjà loin au dessus du bonnet, alors qu’il touchait n’importe quelle personne des siècles passés, en cela qu’il ne suppléait pas à l’écrit pour les ignares, mais apportait un complément spirituel indicible à ce qui était exprimé par la lettre.

La disparition programmée de tout cela depuis deux cents ans est une catastrophe, car tous les témoignages permettant aux âmes perdues de s’orienter seront bientôt éliminés, chaque église qui brûle est un phare qui disparaît dans les ténèbres montantes. Mais les misérables antifas s’en réjouissent, dans leur vilenie sans remède, en clamant que les « seules églises qui éclairent sont celles qui brûlent ».

Pour un esprit médiéval, tout est signe sur le grand livre de la vie, ce que reflètent les sanctuaires anciens, et je trouve personnellement troublante la coïncidence de l’apparition de cette comète exceptionnellement belle avec les craquements sinistres qui annoncent de toutes parts le naufrage de notre Titanic.

La France se meurt, la civilisation chrétienne se meurt. Le Français de base sent obscurément que cela va très mal, mais lorsqu’il revendique sa qualité de Français, il exhibe généralement le saucisson-pinard, une pinup dépoitraillée, la minijupe tricolore au ras des fesses et la cigarette au bec. Des gilets jaunes s’indignaient que l’on envisageât de restaurer Notre Dame, plutôt que de consacrer cet argent à « quelque chose d’utile », et malheureusement, plein d’homo soviéticus ont le même réflexe ici, et avec une haine écumante. En cela, on peut dire que la mutation a été réussie, du Russe obstinément médiéval de l’avant 17, en petit-bourgeois européen mesquin, comme nous en ont fabriqué par millions l’alliance satanique de la révolution et du capital, auquel la première a permis de prendre son essor, sans être plus gêné par un roi ou un tsar, une Eglise et des structures organiques millénaires qui limitaient les appétits des crocodiles.

Au moment où l’on apprend qu’un « réfugié » rwandais, employé par le diocèse, serait l’auteur de l’attentat, la main qui a craqué l’allumette, au moment où les gros abrutis de la LDNA se réjouissent bruyamment de voir incendier une cathédrale médiévale construite selon eux, avec l’argent de la traite des noirs qui n’existait pas en ce temps-là, je tombe sur cet échange de commentaires à propos de l’évènement :

 Laurence Guillon : La mort des coquillages
V. Z. Ce n’est pas grave. Il suffit que tous les chrétiens se mettent dans la prière et s’en remettent à notre Sainte Mère Marie ! Les édifices ne sont pas aussi importants que les âmes !

- R. R. Un chrétien endormi c'est le triomphe du diable

- V. Z. Exactement et il fait tout pour ça à travers la lucarne «magique » !

- R. R. Les Soldats Du Christ on pour but de sauver notre patrie, notre foi et non pas comme des cathos fragiles, mais bien solides campés sur leurs deux pieds. Nos églises nous allons les défendre, notre foi aussi.

Un pour tous, tous pour DIEU.

- V.Z. Notre Foi, notre Croix certainement car ce n’est pas du matériel. Le reste n’a que valeur vénale. Soyons logiques. Ils veulent que nous réagissions, que nous prenions les armes ? Prenons le contrepied de ces inversés du bocal. Chantons, louons Celui qui nous a permis de venir et d’expérimenter ici-bas. La colère est œuvre des ténèbres, la Joie, la Louange, la vraie Foi est œuvre Divine. Restons ou mettons-nous dans cette démarche et cette énergie, vibrons haut et fort l’Amour Inconditionnel, l’Amour Universel et ces forces obscures n’auront aucune prise sur nous. Restons soudés et solidaires, comme tu dis les deux pieds bien ancrés et rien ne pourra nous ébranler !

Dieu veille sur tous ses enfants, sans jugement, faisons-en autant !

Ne jugeons pas, n’ayons comme seule «arme » notre Foi !

Je ne parle pas de religions qui ne font qu’enfermer dans des dogmes et des rituels mais bien de Foi en l’Energie Divine qui est en toute chose et en tout être vivant du virus à l’humain en passant par les plantes et tous les animaux.

Nous ne sommes que ondes, fréquences, vibration, intensité, amplitude et notre «enveloppe » n’a que peu d’intérêt en définitive donc nous n’avons même pas à la défendre.

La seule chose que nous devons défendre est notre âme. Ne la souillons pas avec la violence !

- R. R. Croire en Dieu sans l'adorer dans son église, c'est comme aimer sa femme sans jamais lui faire l'amour.

- E. S. Il faut lire l'évangile en grec. Le Christ n'a pas fondée une "église" mais une assemblée. L'église est la récupération et la création par l'état romain d'une idéologie à son service.

 Laurence Guillon : La mort des coquillages
Je salue tout d’abord la santé psychologique et spirituelle de R.R. Un chrétien chevaleresque, un vrai Français. Sur ce qu’il dit, je n’ai pas de commentaires à faire, c’est V.Z. qui m’atterre. « Ce n’est pas grave », dit-elle « les édifices ne sont pas aussi importants que les âmes ».

Oui, en effet, c’est théoriquement vrai. Le père Basile trouve que j’attache trop d’importance au sort de sainte Sophie, et me prédit que tout sera détruit, certes, certes, je reconnais que j’ai du mal à passer par-dessus la disparition de tout ce qui nous a été légué, pour les raisons que j’expose au début de l’article. Mais « Ce n’est pas grave » ? En tant qu’orthodoxe, je ne peux pas dire que la destruction d’une église, d’une icône, d’une relique n’est pas grave, et cela pour toutes les raisons que je viens d’évoquer. L’iconoclasme qui a suivi Vatican II a donc produit des hordes de « cathos fragiles », comme les appelle R.R,, pour lesquels l’incendie de Notre Dame, celui de la cathédrale de Nantes, ce n’est pas grave, et qui ne lèveront pas le petit doigt pour défendre ce patrimoine qui leur est devenu complètement étranger.

J’insiste : ce ne sont pas des petits gauchistes élevés par le trotskisme soixante-huitard, mais des catholiques. V.Z. enfonce le clou de notre cercueil : tout ça c’est du matériel, donc cela n’a aucun intérêt, elle vit dans l’abstraction pure. La cathédrale est même quelque chose de « vénal », elle n’a plus aucune idée de ce qui présidait à l’édification d’un tel monument, et n’est pas pourvue des récepteurs permettant de comprendre ce qu’il a à nous dire. C’est-à-dire que pour être idéologiquement clean, un bâtiment religieux doit être pauvre, utilitaire, minimaliste et moche, comme les églises en béton des années 50, avec des slogans neuneus du genre «Dieu vous aime » et des photos de petits enfants du tiers-monde, beaucoup plus intéressants que les nôtres dans le rôle du prochain à chérir, bien que beaucoup plus lointains sur le plan géographique et culturel. Nous en arrivons logiquement à l’assertion suivante ICI

Chroniques de Pereslavl
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 Laurence Guillon : La mort des coquillages
Fréquenté par la communauté franco-polonaise, l’édifice un peu plus que centenaire a été la proie des flammes dans la nuit de vendredi à samedi. L’origine du sinistre est toujours inconnue.

Corbeil-Essonnes, samedi 4 juillet 2020. Une bonne partie du toit de cet édifice religieux datant de 1911 a été détruite par ce feu à l’origine pour le moment indéterminé >>> SUITE Corbeil-Essonnes : le toit de l’église Saint-Paul détruit par le feu

Les églises catholiques victimes de 1 400 dégradations en 2018 et 2019

Selon des informations du Service central de renseignement criminel de la gendarmerie (présent sur 95 % du territoire), relayées par Le Figaro, 1 400 dégradations ont été observées entre 2018 et 2019 dans les édifices religieux catholiques en France. Du côté du ministère de l'Intérieur, on indiquait en janvier 2020 que 1 052 faits antichrétiens ont été recensés en 2019, dont 996 « actions » (atteintes aux personnes et aux biens) et 56 menaces, pour 1 063 actes en 2018 (dont un peu moins d'un millier de dégradations) et 1 038 en 2017.

Butins à faibles montants

Concernant les vols, ils sont principalement commis durant la journée, durant les heures d'ouverture au public de l'édifice, sans effraction. Il peut s'agir d'objets religieux dérobés, comme des calices ou des porte-cierges, de dons subtilisés dans les troncs prévus à cet effet ou lors des quêtes. Cela peut être aussi des effets personnels des fidèles eux-mêmes ou des visiteurs (téléphone portable…). « Les mobiliers et autres équipements (chaises, sonorisation, matériels multimédias…) suscitent également les convoitises », indique un officier au Figaro.

Ces vols sont assez loin de répondre à des demandes de collectionneurs d'objets sacrés et les montants en jeu sont souvent assez faibles, même si des trafics se mettent en place. Pour le reste, les dégradations peuvent être des destructions comme des graffitis, avait précisé le ministère de l'Intérieur à Libération. Concernant le profil des voleurs et autres personnes commettant des dégradations, il s'agit le plus souvent de jeunes adultes ou d'adolescents. Cependant, d'autres profils peuvent se livrer à ce genre d'acte : Le Figaro rappelle ainsi la condamnation d'un prêtre à un an avec sursis en juin 2020 pour avoir volé pendant des années des objets de culte dans plusieurs églises.

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Lire aussi En février 2019, plusieurs églises vandalisées en quelques jours

 Laurence Guillon : La mort des coquillages

Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 25 Septembre 2020 à 07:09 | 8 commentaires | Permalien


Commentaires

1.Posté par TAMARA SCHAKHOVSKOY le 25/07/2020 13:01
Merci chère Laurence d'exprimer si bien et sans ambages ce que beaucoup ressentent... et c'est loin d'être la première fois. Merci à vous, que Dieu vous garde.

2.Posté par Parlons d'orthodoxie le 26/07/2020 20:16

Incendie dans la cathédrale de Nantes : le bénévole est passé aux aveux et a été écroué
L'alerte avait été donnée le 18 juillet par des passants qui avaient vu des flammes sortant de la cathédrale L'alerte avait été donnée le 18 juillet par des passants qui avaient vu des flammes sortant de la cathédrale AFP
l'essentiel L"homme "a reconnu, lors de l'interrogatoire de première comparution devant le juge d'instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale", a précisé le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès. Il encourt pour cette infraction "une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende".
Une semaine après l'incendie dans la cathédrale de Nantes, un bénévole du diocèse est passé aux aveux et a été placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour "destructions et dégradations par incendie". "Mon client a coopéré", a affirmé au quotidien Presse-Océan l'avocat du mis en examen, Me Quentin Chabert. "Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd'hui rongé par le remords et dépassé par l'ampleur qu'ont pris les événements", assure-t-il.
L"homme "a reconnu, lors de l'interrogatoire de première comparution devant le juge d'instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale : sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique", a précisé le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès au quotidien. Cet homme de 39 ans, qui était chargé de fermer la cathédrale la veille de l'incendie, a été mis en examen "des chefs de destructions et dégradations par incendie et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention", a indiqué dans un communiqué le procureur.


Il encourt "une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende"

Le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois, avait expliqué la semaine dernière que le bénévole était un "Rwandais, venu se réfugier en France il y a quelques années". Selon le recteur, le bénévole est "servant d'autel" et il le connaissait "depuis quatre ou cinq ans". "J'ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs", avait-il expliqué à l'AFP.
Le bénévole avait été placé en garde à vue le 18 juillet quelques heures après l'incendie et l'ouverture de l'enquête, puis remis en liberté le lendemain soir. Les enquêteurs souhaitaient l'interroger car après l'incendie aucune trace d'effraction n'avait été constatée sur les accès à l'édifice dans lequel trois points de départ de feu avaient été constatés.

Dans le cadre de cette enquête, "plus de trente personnes" ont été entendues et une vingtaine d'enquêteurs de la police judiciaire ont été mobilisés, avec notamment le renfort du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, afin de déterminer la cause de l'incendie, selon le procureur. Le bénévole a été de nouveau interpellé et placé en garde à vue samedi matin, puis présenté dans la soirée au parquet de Nantes, qui a ouvert une information judiciaire, avant d'être mis en examen et placé en détention provisoire. Il encourt pour cette infraction "une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende", a précisé Pierre Sennés dans un courriel envoyé dans la nuit.

"La plupart des œuvres ont été sauvées"

L'enquête avait révélé l'existence de trois points de feu distincts dans la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul. "Entre le grand orgue, qui est sur la façade au premier étage et les autres feux, vous avez quasiment toute la distance de la cathédrale. Ils sont quand même à une distance conséquente les uns des autres", avait relevé le jour de l'incendie le procureur.

L'alerte avait été donnée le 18 juillet vers 07h45 par des passants qui avaient vu des flammes sortant de la cathédrale. Il a fallu environ deux heures aux sapeurs-pompiers pour circonscrire le feu qui a notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue. En dehors du grand orgue dont "très peu, voire pas du tout d'éléments seront sauvables", selon Philippe Charron, responsable du pôle patrimoine à la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles), "la plupart des œuvres ont été sauvées" et sont remisées "notamment dans le château de Nantes".

"On va compter en semaines la mise en sécurité du site, (...) en mois l'investigation qui va se faire pierre par pierre" et, concernant la durée du chantier de reconstruction précédé d'une phase d'études, "là, l'unité sera plutôt l'année", a estimé Philippe Charron. L'État "prendra toute sa part" dans la reconstruction, a promis le Premier ministre Jean Castex, venu à Nantes féliciter les sapeurs-pompiers le jour de l'incendie. L'incendie de la cathédrale de Nantes, survenu 15 mois après celui de Notre-Dame de Paris, a suscité une vive émotion chez les Nantais, dont certains ont conservé le souvenir d'un précédent incendie de l'édifice, le 28 janvier 1972. L'édification de cette cathédrale, de style gothique flamboyant, a duré plusieurs siècles (de 1434 à 1891).

3.Posté par Tchetnik le 28/07/2020 09:45 (depuis mobile)
Il y a au moins un acte antichrétiens PAR JOUR en république "française". Et selon les chiffres officiels, on en serait même à près de trois par jour. .

A noter que les politicards n'ont pas appelé à une quelconque solidarité envers les Chretiens...

4.Posté par Tchetnik le 01/08/2020 12:13
L'"assemblée" dite "nationale" a "voté" la loi bioéthique, ce avec - comme de coutume - une poignée de "députés".

Les "évêques" "orthodoxes" vont-ils se bouger?

5.Posté par Tchetnik le 01/08/2020 20:50 (depuis mobile)
Question rhétorique, naturellement.

Quand on constate l'obsequiosite politique de certains "évêques" "orthodoxes", quelque chose me dit qu'on a déjà la réponse.

6.Posté par Nicodème le 01/08/2020 22:37
La France n'a pas fini de payer pour son apostasie . Ne nous faisons pas d'illusions , nous n'avons pas encore touché le fond , et nous ne verrons pas la résurrection du "cher et vieux pays" de notre vivant (je parle pour les mâles blancs hérérosexuels de plus de cinquante ans ...) . La seule chose que nous pourrons faire , c'est prendre les dispositions pour vendre chèrement notre peau . Eventuellement avec une icône en bouclier . Mais je ne suis pas sûr que "ça marche" ...:-(

7.Posté par Tchetnik le 02/08/2020 09:25 (depuis mobile)
@Nicodème

Un certain prêtre Hagop Boyadjian a montré qu'une croix d'autel était une excellente arme de combat. Surtout quand elle est accompagnée d'un Mauser C96.

8.Posté par Nicodème le 02/08/2020 14:52
@Tchetnik : votre principe , on le dirait sorti tout droit d'un dialogue d'Audiard ...:-)

9.Posté par Lara: L'Horreur Absolue le 23/09/2020 08:47
L'Horreur Absolue

L'église contenant le corps incorruptible de Sainte Agathe de Sicile a été vandalisée, le corps étant agressé et le tabernacle étant cambriolé et les hôtes volés, ainsi que l'art religieux et les représentations de la Sainte Mère détruits.

Italie : Pour la deuxième fois ces derniers jours, une belle église du collège de Sw. Agata à Caltanissetta a été dévastée et profanée. Cette fois, les auteurs ont gravement endommagé les autels. Ils ont ouvert le tabernacle dont ils ont pris le cyborium et les hôtes consacrés dispersés par terre. Ils ont aussi volé des plats d'huile sainte, dévasté le cas de cristal de Madonna endormie, dont ils ont pris la main et volé la broche dorée qu'elle portait. Toute la Sicile est sous le choc. L ' événement a été confirmé par Michele Mancuso, membre de Forza Italia à l'Assemblée régionale sicilienne.

[Édition] Les auteurs ont été capturés.
https://www.ilfattonisseno.it/.../caltanissetta-raid.../

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