Я с большой осторожностью отношусь к таким "Юбилейным" фильмам, но посмотрел ЭТОТ ФИЛЬМ
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Le 24 juillet, jour de la mémoire de sainte Olga, égale-aux-apôtres et grande-princesse de Russie, les primats et hiérarques de toutes les Églises orthodoxes locales ont concélébré la liturgie (photographies, vidéo). L’office a suivi le même ordo que celui du jour de la célébration du millénaire du baptême de la Russie. La liturgie a été concélébrée par les patriarches d’Alexandrie Théodore, de Jérusalem Théophile III, de Moscou Cyrille, de Géorgie Elie II, de Serbie Irénée, de Bulgarie Néophyte, l’archevêque de Chypre Chrysostome II, les métropolites de Varsovie Savva, d’Amérique et du Canada Tikhon, qui sont venus rendre visite à l’Église orthodoxe russe à l’occasion des festivités du 1025e anniversaire du baptême de la Russie. Outre les primats, ont concélébré également le métropolite de France Emmanuel, chef de la délégation du Patriarcat de Constantinople ; le métropolite du Mexique, d’Amérique centrale, des Caraïbes et du Venezuela Antoine, chef de la délégation du Patriarcat d’Antioche ; le métropolite d’Europe occidentale Joseph, chef de la délégation de l’Église orthodoxe roumaine ; le métropolite de Philippes, Néapolis et Thassos Procope, chef du secrétariat des relations inter-orthodoxes du Saint-Synode de l’Église orthodoxe de Grèce, chef de la délégation de ladite Église ; le métropolite de Korçë Jean, chef de la délégation de l’Église orthodoxe d’Albanie ; l’archevêque de Prešov Rostislav, chef de la délégation de l’ Église orthodoxe des Terres tchèques et de Slovaquie, ainsi que les hiérarques de l’Eglise orthodoxe russe et encore de nombreux autres clercs.

Assistaient à l’office le représentant du président de la Fédération de Russie A. Beglov, le vice-premier ministre d’Ukraine K. Grichtchenko et encore un certain nombre de personnalités du monde politique et diplomatique, dont le nonce apostolique en Russie, l’archevêque Ivan Yurkovitch. Les chœurs de la cathédrale du Christ Sauveur et du monastère Sretensky de Moscou assuraient le chant au cours de la cérémonie. Des demandes particulières ont été introduites dans l’ecténie, notamment pour préserver l’Église russe « de schismes et de troubles, de l’affermir dans l’unité de la foi et de la garder en paix ».

Après la liturgie, le patriarche Cyrille a célébré un office d’intercession et a lu solennellement le message du Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe aux archipasteurs, clercs, moines, moniales et laïcs à l’occasion du 1025e anniversaire du baptême de la Russie. De la part de l’État, le représentant du président de la Fédération de Russie, A. Beglov a salué l’assemblée. De son côté, le pape et patriarche d’Alexandrie Théodore a prononcé un discours au nom des primats et des délégations des Églises orthodoxes locales. Ensuite, les participants à l’office ont vénéré la relique de la croix du saint apôtre André, qui séjourne actuellement à Moscou.

À l’issue de l’office, une réception a été donnée en l’honneur de la célébration du 1025e anniversaire du baptême de la Russie, à laquelle ont été invités les primats et représentants des Églises orthodoxes locales, les représentants des autorités politiques, de diverses organisations, des religions traditionnelles, ainsi que les diplomates.

Pourquoi ?
Pourquoi les Russes sont-ils retournés à la foi chrétienne ?
Pourquoi la société russe est-elle retournée à ses racines ?
Pourquoi mille églises par an ?

Pourquoi le Patriarche Cyrille, le Métropolite Hilarion, le chef de l'Etat russe et beaucoup d'autres, tiennent-ils des propos magnifiques, qui sont à des années-lumière de la pensée unique et totalement à contre-courant de la pensée occidentale actuelle aux symptômes si inquiétants ?

Parce que l'Orthodoxie est absolument irrésistible dans sa transmission du message chrétien. Nous qui avons la chance de le vivre par elle nous ne le dirons jamais assez.

Quand nous pénétrons au coeur des offices, de tout ce qui s'y exprime, nous constatons que la langue de bois, le prêchis-prêcha, la complaisance doloriste, les mièvreries, les idéologies, n'y ont rigoureusement aucune place. Ainsi le joyau peut rayonner de tout son éclat.

Parce que les saints très anciens qui ont composé ces liturgies, ainsi que tous ceux qui les ont transmises, et tous ceux qui continuent de le faire en les gardant respectueusement intactes dans leur beau langage intemporel hors des modes qui se démodent, n'avaient et n'ont qu'un seul objectif essentiel, un seul cap, une seule obsession : nous rapprocher tous le plus possible, troupeaux et bergers, de Celui que nous aimons, de Lui Le seul Ami de l'homme, afin de nous nourrir de Sa fortifiante tendresse de Dieu Fils de Dieu.

C'est un fait, c'est précieux, c'est irrésistible.
C'est le ciel sur la terre. Ce constat qui a été prononcé voici mille sept cents ans est plus que jamais d'actualité, a plus que jamais valeur contemporaine.
Ceci explique cela.

Le 18 août, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, recteur de l’Institut des Hautes études Saints-Cyrille-et-Méthode, a reçu Z. I. Tregoulova, directeur de la Galerie Tretiakov, et A. K. Levykine, directeur du Musée national d’histoire.

S. L. Kravets, directeur du Centre de recherche ecclésiastique « Encyclopédie orthodoxe », A. Yanovski, vice-directeur du Musée national d’histoire, K. Gandour, secrétaire du recteur de l’Institut des hautes études.

La rencontre portait sur la préparation de la conférence internationale « Le prince Vladimir. Un choix civilisationnel », organisée par l’Institut des hautes études Saints-Cyrille-et-Méthode en partenariat avec la Société d’histoire russe, avec la participation du Musée national d’histoire et de la Galerie Tretiakov. La conférence est prévue pour le 19 novembre.

Son programme comprend des sections sur l’histoire, l’histoire de l’art, l’archéologie, l’Église et la société. La conférence aura lieu dans les locaux de l’Institut des hautes études, à la Galerie Tretiakov et au Musée d’histoire.