Commémoration des victimes de la révolution de 1917
l'équipe de rédaction

« Seront présents des descendants de l’émigration blanche, de la noblesse russe, des personnalités de l’époque soviétique, des représentants du parti communiste russe. Ce sera une manifestation toute particulière d’unité, de l’unité sous le signe de laquelle se dérouleront ces jours de fête. Unité, de tous, du pouvoir, du peuple, des communautés religieuses, de ceux qui restent jusqu’à présent séparés par des frontières. Les évènements de 1917, les combats de la guerre civile ont laissé dans les âmes de nombreux millions de nos compatriotes des plaies qui ne se sont pas encore cicatrisées. Le pays s’est divisé entre les Blancs et les Rouges. De grands efforts sont entrepris en vue d’aboutir au pardon ainsi qu’à l’unité sociale ».
« Le premier monument aux victimes d’une guerre civile a été érigé aux Etats-Unis à la suite de la guerre entre le Nord et le Sud, le deuxième, un immense crucifix, en Espagne, dans la Vallée des morts, non loin de Madrid (voir photo) ».
Le premier monument à avoir été inauguré en Russie (le 7 mai 1997) à la mémoire de toutes les victimes de la guerre civile se trouve dans la cour de l’école Alexandre de la Neva à Saint Petersbourg.
Une chapelle commémorative en l’honneur de la Vierge de Koursk a été construite grâce à des fonds collectés par des descendants de la noblesse russe dans le village de Bagreevka en Crimée où furent fusillées en 1920 des milliers de victimes.
La prière commune est la composante essentielle de la réconciliation nationale, a conclu le représentant de l’Eglise russe.
Une chapelle commémorative en l’honneur de la Vierge de Koursk a été construite grâce à des fonds collectés par des descendants de la noblesse russe dans le village de Bagreevka en Crimée où furent fusillées en 1920 des milliers de victimes.
La prière commune est la composante essentielle de la réconciliation nationale, a conclu le représentant de l’Eglise russe.