Entretien : l’Eglise de Nice entre de bonnes mains
L'équipe Rédaction

Entretien avec le prince Nicolas de Russie, doyen de la Maison impériale de Russie et de Pierre de Fermor, président de l’AACOR-SNN, association consacrée à l’Eglise orthodoxe de Nice
Quels sont vos liens avec les tsars de Russie, et votre position au sein de la Maison impériale russe ?
Nicolas de Russie : Je suis l’arrière-petit-fils du Tsar Nicolas Ier, et l’aîné des descendants mâles de la dynastie des Romanoff. Je ne suis pas pour autant prétendant au trône de Russie ! Je suis simplement le doyen de la Maison impériale de Russie, et à ce titre président de l’Union des Membres de la Maison des Romanoff. Lorsque je disparaitrai, mon frère Dimitri occupera cette position.
Pierre de Fermor : Et nous sommes cousins, descendants tous deux du comte Dimitri Cheremetieff (propriétaire à Moscou des palais d’Ostankino et de Kouskovo), le prince Nicolas par sa mère, et moi-même par mon père !
Le prince a par ailleurs accepté de devenir également le président d’honneur de l’Association des Amis de la cathédrale Orthodoxe Russe Saint-Nicolas de Nice, dont je suis le président exécutif.
Que pensez-vous de la décision de justice française, retournant l’église russe de Nice à la Fédération de Russie ?
Nicolas de Russie : C’est ce que j’ai toujours souhaité. Au moment même où l’Union Soviétique a cessé d’exister, la Russie est redevenue la Russie, l’époque de l’exil a pris fin. Les jeunes descendants de russes blancs émigrés ont alors commencé à retourner au pays. Pour moi, allant à ce moment là sur mes 80 ans (j’en ai maintenant 88), c’était trop tard.....SUITE La Russie d'aujourdhui
SITE des Amis de l'église orthodoxe russe Saint-Nicolas de Nice
Que pensez-vous de la décision de justice française, retournant l’église russe de Nice à la Fédération de Russie ?
Nicolas de Russie : C’est ce que j’ai toujours souhaité. Au moment même où l’Union Soviétique a cessé d’exister, la Russie est redevenue la Russie, l’époque de l’exil a pris fin. Les jeunes descendants de russes blancs émigrés ont alors commencé à retourner au pays. Pour moi, allant à ce moment là sur mes 80 ans (j’en ai maintenant 88), c’était trop tard.....SUITE La Russie d'aujourdhui
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