Homélie de Noël destinée à tous ceux qui célèbrent le 25 décembre
Parlons D'orthodoxie
Père Nikolaï Tikhonchuk
Chers frères et sœurs !
Cette année est particulièrement difficile pour nous tous, pour notre pays la France, pour tout le monde : cette terrible épidémie contagieuse qui s’abat sur l’univers entier. Quand est-ce que cette épidémie va s’arrêter ? Il’a une autre question : comment arrêter l’épidémie qui atteint nos cœurs, mon cœur ?
Hier soir, en écrivant cette homélie, mes pensées se sont adressées à Celui qui est présent ici au milieu de l’icône de la Nativité : un enfant et en même temps Dieu, qui se donne dans les mains rudes des êtres humains, volontairement, Il se donne totalement à nous : vulnérable et fragile. Nous voyons sur l’icône Dieu le Fils dans son extrême humilité et même temps qui a confiance en l’homme.
Quand nous voyons un enfant, nous ne voulons que l’aimer, n’est-ce pas ? Je pense qu’en ce moment chacun de nous peut penser aussi à nos propres enfants, et peut-être à notre propre enfance. Oui, autrefois nous aussi nous étions aussi petits et aussi fragiles.
Chers frères et sœurs !
Cette année est particulièrement difficile pour nous tous, pour notre pays la France, pour tout le monde : cette terrible épidémie contagieuse qui s’abat sur l’univers entier. Quand est-ce que cette épidémie va s’arrêter ? Il’a une autre question : comment arrêter l’épidémie qui atteint nos cœurs, mon cœur ?
Hier soir, en écrivant cette homélie, mes pensées se sont adressées à Celui qui est présent ici au milieu de l’icône de la Nativité : un enfant et en même temps Dieu, qui se donne dans les mains rudes des êtres humains, volontairement, Il se donne totalement à nous : vulnérable et fragile. Nous voyons sur l’icône Dieu le Fils dans son extrême humilité et même temps qui a confiance en l’homme.
Quand nous voyons un enfant, nous ne voulons que l’aimer, n’est-ce pas ? Je pense qu’en ce moment chacun de nous peut penser aussi à nos propres enfants, et peut-être à notre propre enfance. Oui, autrefois nous aussi nous étions aussi petits et aussi fragiles.

Je me dis à moi-même et je voudrais dire à vous tous : soyons attentifs aux âmes des enfants de Dieu, soyons patients et tendres comme Marie la Vierge qui prend aujourd’hui dans ses mains l’enfant le plus précieux au Monde. Cet enfant est chacun de nous.