Icônes brodées, quand l’art délicat de la peinture à l’aiguille s’invite à Paris
Parlons D'orthodoxie
Maria Tchobanov Vidéo Orthodoxie. com
Les icônes artisanales de l’atelier Prikosnoviénié sont de véritables œuvres d’art, uniques en leur genre, réalisées selon une ancienne technique de broderie d’icônes avec des pierres précieuses, des perles, de la nacre et de fins tubes en verre (de 1 mm de longueur et de 0,3-0,4 mm d’épaisseur).
L’art de la broderie des icônes orthodoxes réalisées en fil d’or trouve ses racines dans l’histoire de l’ancienne Russie.
Du 16 septembre au 8 octobre, ces joyaux sont exposés au Centre culturel et spirituel russe, au 1, quai Branly à Paris.
« L’apparition des visages brodés des saints a surtout été liée à la nécessité de présence des icônes dans les troupes lors des campagnes militaires. Par la suite sont nés les premiers gonfalons et les icônes brodées de pierres précieuses, réalisées avec cette technique unique », a rappelé le ministre de la culture russe Vladimir Medinski, qui a inauguré l’exposition La peinture à l’aiguille le 15 septembre au Centre culturel et spirituel russe à Paris.
Les icônes artisanales de l’atelier Prikosnoviénié sont de véritables œuvres d’art, uniques en leur genre, réalisées selon une ancienne technique de broderie d’icônes avec des pierres précieuses, des perles, de la nacre et de fins tubes en verre (de 1 mm de longueur et de 0,3-0,4 mm d’épaisseur).
L’art de la broderie des icônes orthodoxes réalisées en fil d’or trouve ses racines dans l’histoire de l’ancienne Russie.
Du 16 septembre au 8 octobre, ces joyaux sont exposés au Centre culturel et spirituel russe, au 1, quai Branly à Paris.
« L’apparition des visages brodés des saints a surtout été liée à la nécessité de présence des icônes dans les troupes lors des campagnes militaires. Par la suite sont nés les premiers gonfalons et les icônes brodées de pierres précieuses, réalisées avec cette technique unique », a rappelé le ministre de la culture russe Vladimir Medinski, qui a inauguré l’exposition La peinture à l’aiguille le 15 septembre au Centre culturel et spirituel russe à Paris.


L’atelier a réalisé plus de 1000 icônes, dont une centaine a été offerte aux églises et monastères en Russie, en République tchèque, en Allemagne, aux États-Unis, au Mont Athos, en Angleterre, à Monaco et ailleurs.

C’est la première fois qu’une exposition d’une telle envergure, du point de vue du nombre et des dimensions de certaines œuvres, est présentée à l’étranger, selon Natalia Gorkovenko SUITE
