"In memoriam Lydia Ouspensky". Un livre collectif sous la direction d'Émilie van Taack
Parlons D'orthodoxie
Éditions Sainte-Geneviève : Un livre collectif sous la direction d'Émilie van Taack
Ce livre, publié à l’occasion du 10e anniversaire du rappel à Dieu de Lydia Alexandrovna Ouspensky, rassemble plusieurs écrits dont le principal - "Une vie comme une autre" - est le récit autobiographique que Lydia a laissé de son émigration hors de Russie et de sa vie entre les deux guerres.
Dans sa brièveté, ce récit en dit beaucoup sur elle, sur sa famille, et sur la survie des Russes au cours de cette période redoutable.
Des portraits, ensuite, écrits par ses amis, Galina Makhrova, Véronique Lossky, Marie-Chantal Savinkov, Valery Sergueev, Emilie Van Taack, composent une image de Lydia et du couple qu’elle formait avec son époux — uni jusqu’à la fin de leur vie, définitivement, en un seul être. Il est impossible de parler de Lydia, en effet, sans évoquer Léonide Alexandrovitch qui fut, dès qu’elle l’eut rencontré, comme la cause à laquelle elle se dévoua, corps et âme.
Ce livre, publié à l’occasion du 10e anniversaire du rappel à Dieu de Lydia Alexandrovna Ouspensky, rassemble plusieurs écrits dont le principal - "Une vie comme une autre" - est le récit autobiographique que Lydia a laissé de son émigration hors de Russie et de sa vie entre les deux guerres.
Dans sa brièveté, ce récit en dit beaucoup sur elle, sur sa famille, et sur la survie des Russes au cours de cette période redoutable.
Des portraits, ensuite, écrits par ses amis, Galina Makhrova, Véronique Lossky, Marie-Chantal Savinkov, Valery Sergueev, Emilie Van Taack, composent une image de Lydia et du couple qu’elle formait avec son époux — uni jusqu’à la fin de leur vie, définitivement, en un seul être. Il est impossible de parler de Lydia, en effet, sans évoquer Léonide Alexandrovitch qui fut, dès qu’elle l’eut rencontré, comme la cause à laquelle elle se dévoua, corps et âme.

Elle lui survécut près de vingt ans, jusqu’en octobre 2006. Celle qui s’était effacée volontairement durant toute sa vie derrière son époux, est apparue involontairement, pendant cette période, aux yeux de tous, dans toute sa grandeur, non seulement digne de lui mais semblable à lui et son émule spirituelle.


Lydia Ouspensky devant la tombe de son époux. Cimetière de Ste Geneviève-des-Bois, fin Avril 2006