Ohrid, berceau de l'orthodoxie n'échappe pas à ses fractures
l'équipe de rédaction
François-Xavier MAIGRE
Fin de journée printanière, au bord de l’eau. C’est sans doute le meilleur moment pour goûter les charmes d’Ohrid, et de son lac – l’un des plus vieux au monde, et des plus riches sur le plan de la biodiversité. À cette heure-là, quand la lueur ambrée du couchant se reflète à la surface, le ciel paraît plus vaste qu’en tout autre lieu. Ce paysage possède naturellement quelque chose de sacré, d’envoûtant. On comprend mieux, en embrassant cet horizon où meurent au loin les cimes embrumées de l’Albanie voisine, qu’un endroit aussi fascinant ait pu servir d’écrin à l’essor de l’orthodoxie slave. Suite LA CROIX
Fin de journée printanière, au bord de l’eau. C’est sans doute le meilleur moment pour goûter les charmes d’Ohrid, et de son lac – l’un des plus vieux au monde, et des plus riches sur le plan de la biodiversité. À cette heure-là, quand la lueur ambrée du couchant se reflète à la surface, le ciel paraît plus vaste qu’en tout autre lieu. Ce paysage possède naturellement quelque chose de sacré, d’envoûtant. On comprend mieux, en embrassant cet horizon où meurent au loin les cimes embrumées de l’Albanie voisine, qu’un endroit aussi fascinant ait pu servir d’écrin à l’essor de l’orthodoxie slave. Suite LA CROIX