PARIS, le 26 septembre 2024 – à la veille de la grande fête de l'Exaltation de la Sainte et Vivifiante Croix du Seigneur, les vigiles ont été célébrée en la cathédrale de la Sainte Trinité. Conformément à l'ordo liturgique, lors des grandes vêpres, une lytie (prière solennelle) a été accomplie, suivie de la bénédiction du pain, du vin, du froment et de l'huile.
La particularité de cet office vespéral la veille de la fête de l'Exaltation de la Croix réside dans la vénération particulière rendue à la Sainte Croix du Christ, qui est ornée de fleurs fraîches et déposée sur l'autel avant le début des vêpres. Selon la tradition liturgique de cette fête, le polyéléos, le chant de magnificat et la lecture de l'Évangile sont célébrés directement dans le sanctuaire de l'église.
À la fin de la grande doxologie, l'Exarque patriarcal, pendant le chant du Trisagion, le métropolite Nestor porta solennellement le Crucifix orné de fleurs au centre de l'église et a procédé au rite de l'Exaltation de la Sainte Croix.
Ce rite majestueux, empreint d'un profond sens spirituel, n’est accompli qu'une fois par an, notamment à la veille de la fête de l'Exaltation de la Croix, par les évêques dans les cathédrales.
Conformément au rite, l'Exarque patriarcal a élevé la Croix sculptée vers les quatre points cardinaux. À chaque exaltation, une litanie diaconale particulière fut proclamée et le chœur répondit par de multiples chants de « Seigneur, aie pitié ! ».
Ce rite de l'Exaltation de la Croix trouve son origine dans la première exaltation historique de la Sainte Croix à Jérusalem, lorsque l'évêque de Jérusalem, saint Macaire, éleva le bois sacré de la Croix découvert par la sainte impératrice Hélène, et que le peuple se prosterna devant le Vivifiant Bois de la Croix en priant : « Seigneur, aie pitié ! »
Après le rite, les fidèles, lors des stichères glorifiant la puissance de la Croix du Seigneur chantées par le chœur, s’approchèrent pour vénérer l'image de la Sainte Croix et furent ensuite oints d'huile bénite.
La particularité de cet office vespéral la veille de la fête de l'Exaltation de la Croix réside dans la vénération particulière rendue à la Sainte Croix du Christ, qui est ornée de fleurs fraîches et déposée sur l'autel avant le début des vêpres. Selon la tradition liturgique de cette fête, le polyéléos, le chant de magnificat et la lecture de l'Évangile sont célébrés directement dans le sanctuaire de l'église.
À la fin de la grande doxologie, l'Exarque patriarcal, pendant le chant du Trisagion, le métropolite Nestor porta solennellement le Crucifix orné de fleurs au centre de l'église et a procédé au rite de l'Exaltation de la Sainte Croix.
Ce rite majestueux, empreint d'un profond sens spirituel, n’est accompli qu'une fois par an, notamment à la veille de la fête de l'Exaltation de la Croix, par les évêques dans les cathédrales.
Conformément au rite, l'Exarque patriarcal a élevé la Croix sculptée vers les quatre points cardinaux. À chaque exaltation, une litanie diaconale particulière fut proclamée et le chœur répondit par de multiples chants de « Seigneur, aie pitié ! ».
Ce rite de l'Exaltation de la Croix trouve son origine dans la première exaltation historique de la Sainte Croix à Jérusalem, lorsque l'évêque de Jérusalem, saint Macaire, éleva le bois sacré de la Croix découvert par la sainte impératrice Hélène, et que le peuple se prosterna devant le Vivifiant Bois de la Croix en priant : « Seigneur, aie pitié ! »
Après le rite, les fidèles, lors des stichères glorifiant la puissance de la Croix du Seigneur chantées par le chœur, s’approchèrent pour vénérer l'image de la Sainte Croix et furent ensuite oints d'huile bénite.