Conformément aux résultats de l’enquête menée par le Fond « VTZIOM » le nombre de ceux qui se considèrent orthodoxes a augmenté.
Aux sondés qui se définissaient comme orthodoxes il fut proposé de choisir entre les options suivantes :
- orthodoxes nouvellement éclecialisés: 37 %
- peu pratiquants : 31 %
- pratiquants régulièrement et communiants : 4%
-
72 % des sondés se considèrent orthodoxes ce qui dépasse de 12 % les données collectées au cours des deux années précédentes. Cela bien que, parmi eux, le nombre des pratiquants est resté sans changement, indique « Blagovest info ».

Ces résultats furent annoncés le 18 mars au cours d’une conférence de presse à l’agence Ria Novosti : « L’Eglise et la jeunesse – terrain à problèmes » par Aline Bagrine coordinateur des Services Sociaux du département aux affaires de la jeunesse du Patriarcat de Moscou. La « composition démographique » de ces 4 % de pratiquants mérite attention. Ce groupe comporte en majorité des gens plutôt âgés et essentiellement des femmes.

En même temps 84 % des interrogés, comptant parmi eux des représentants de religions différentes, sont d’accord ou plutôt d’accord, avec l’affirmation que « l’orthodoxie est indispensable à la Russie »

Le questionnaire a également montré que 65 % « soutiennent l’Eglise orthodoxe russe mais en la critiquant » alors que ceux qui sont seulement critiques ne représentent que 4%.
En général a conclu Aline Bagrine le soutien à l’Eglise orthodoxe russe s’est révélé considérable.

Conformément à l’enquête 11% se considèrent athées, 7% musulmans, 2% chrétiens non orthodoxes, 2% croient dans la force de la nature. Parmi les chrétiens non orthodoxes il y a plus de jeunes que parmi les orthodoxes.
Phénomène noubeau, la population rurale est plus proche de l’islam alors que l’orthodoxie se concentre dans les grandes villes. 62 % sont d’accord avec l’affirmation que « les Fondamentaux de la culture orthodoxe sont utiles ». Ainsi, l’enquête a fait litière des stéréotypes concernant les positions des orthodoxes sur le sujet des dons d’organes. Aujourd’hui il y a parmi eux davantage de gens prêts à faire don de leurs organes.
Résultat intéressant pour les chercheurs : 70 % des sondés ont exprimé l’opinion que la vie humaine commence à la conception et non à la naissance.

L’étude fut menée en janvier – février de cette année dans 44 territoires de la Fédération de Russie.
Lien en russe: NEWSru

Traduction pour "PO" Basile de TIESENHAUSEN



Rédigé par l'équipe de rédaction le 24 Mars 2010 à 20:08 | 0 commentaire | Permalien



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