BON REVEILLON  et JOYEUSE ANNEE  2013
A tous les lecteurs, à tous les contributeurs de P.O. nous souhaitons que 2013 nous soit clémente !

Que 2013 soit saturée d’évènements bénis, de sujets passionnants, qu’elle nous apporte encore plus d’auteurs, qu’elle soit marquée par une volonté d’unité et de paix ! Tous nos vœux vont à Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, ainsi qu’au séminaire orthodoxe d'Epinay et à son recteur, le hiéromoine Alexandre. S Novym Godom ! Bonne année! Happy new year! Et pour nos amis qui parlent aussi une autre langue que le Français - Vœux 2013 multi-langues

(Albanais) gëzuar vitin e r, (Allemand) gutes neues jahr, (Alsacien) e glëckliches nëies, (Anglais) happy new year, (Antillais) bon lanné, (Arabe) aam saiid / sana saiida عام سعيد, (Arménien) shnorhavor nor tari, (Basque) urte berri on, (Berbère) asgwas, amegas, (Bioelorusse) Z novym hodam З новым годам, (Bulgare) chestita nova godina, (Breton) bloavezh mat / bloavez mad, (Corse) pace e salute, (Croate) sretna nova godina, (Espagnol) feliz año nuevo, (Flamand) gelukkig Nieuwjaar, (Gaélique d’Ecosse) bliadhna mhath ur, (Gaélique d’Irlande) ath bhliain faoi mhaise, (Galicien) feliz aninovo, (Gallo) Bónn anaèy, (Gallois) blwyddyn newydd dda, (Géorgien) gilocavt akhal tsels გილოცავთ ახალ წელს, (Grec) kali chronia OU kali xronia Καλή Χρονιά, (Guyanais) bon nannen, (Hongrois) boldog új évet, (Kabyle) asseguèsse-ameguèsse, (Martiniquais) bon lanné, (Néerlandais) gelukkig Nieuwjaar, (Polonais) szczesliwego nowego roku, (Réunionnais) bone-érèz ané, (Roumain) un an nou fericit, (Russe) S novim godom С Новым Годом, (Suédois) gott nytt år, (Suisse-Allemand) es guets Nöis, (Tahitien) ia orana i te matahiti api, (Tchèque) štastný nový rok, (Thai) sawatdii pimaï, (Turc) yeni yiliniz kutlu olsun, (Ukrainien) Z novym rokom Щасливого Нового Року / З Новим роком, (Vietnamien) Cung Chúc Tân Niên / Cung Chúc Tân Xuân, (Wallon) bone annéye èt bone santéye, (Wolof) dewenati, (Yiddish) a gut yohr
BON REVEILLON  et JOYEUSE ANNEE  2013

Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 31 Décembre 2012 à 17:05 | 10 commentaires | Permalien


Commentaires

1.Posté par av aleksandr le 01/01/2013 19:33
Je trouve heureux que vous mettiez vos voeux au nom de "Parlons d'Orthodoxie".
Merci pour ces quatre verres de Champagne pour une et belle et sainte année 2013.

Nous aurons aussi la possibilité et la grâce de renouveler les voeux le 13 janvier au soir. Dans cette nuit que je manquerai cette année car je retourne à Jérusalem le 17/01, je trouve tellement beau cette célébration au patriarcat de Jérusalem et aussi dans la nuit au Saint Sépulcre/Anastasis de la bénédiction de la Basilika pita, cette grande pita ou pain rond qui est partagée entre tous.

Tous mes voeux vous accompagnent ainsi que ma fidèle prière. Merci pour votre présentce dans le paysage des sites. Il faut que l'Eglise orthodoxe soit présente et qu'elle ouvre à un large débat ou en tout cas un espace d'échanges ouvert.
С Новым Годом та з новим роком и с наступающими!
שנה טובה - שנה אזרחית ובינלאומית מבורכת - א גוט ניי0יאר און מזל טוב!
Polli chronia - Kali chronia!\πολλη κρονια καλη κρονια!
Bonan Novjaron kaj multaj feliĉaj revena! (Esperanto)

et que Le Seigneur daigne nous bénir pour de nombreuses années!

archiprêtre laexander Winogradsky Frenkel
av aleksandr (Jerusalem)

2.Posté par nikolas le 02/01/2013 14:26
Puisque les voeux sont multilingue, et que parmi elles figurents quelques langues régionales, je vous souhaitent "une boune annaille a tots" (Poitevin).

3.Posté par Vladimir le 03/01/2013 19:46
Bonne et heureuse année père Alexandre,

Je ne connais pas les célébration dont vous parlez pour le 1/13 janvier orthodoxe. Pourriez-vous nous en dire plus s'il vous plait.

En demandant votre bénédiction

4.Posté par av aleksandr le 03/01/2013 21:47
Bonne et heureuse année à vous aussi, cher Vladimir!

En effet, il est d'usage depuis certainement un temps très ancien, peut-être même décalqué d'une sorte de "Благословение хлебов\bénédiction des (cinq) pains" des offices grecs de Vêpres et de Matines, que le patriarche de Jérusalem, le clergé et tous les fidèles et amis, invités se réunissent à 14 h. 30 pour un office de doxologie (cf. Moloben, action de grâces) célébrés par certains hiérarques. Puis le patriarche Théophilos de Jérusalem bénit solennellement un très grand pain rond - bien large et onctueux, fait d'aromates. Y est inscrit le nom de l'année selon le calendrier soit 2013. Ce pain s'appelle "βασηλικα πιτα\pita (de pat en araméen/hébreu qui veut dire "morceau de pain et qui est à l'origine du mot "pizza" - c'est fou ce que le monde est petit!). Il est d'usage de placer une pièce à l'intérieur de cet énorme "gâteau" et celui qui la "tire" lorsque le patriarche distribue les portions est considéré comme béni pour l'année...!

Cet usage s'explique aussi du fait que le patriarcat de Jérusalem, jusqu'à une époque très récent "nourrissait" ou tout au moins distribuait les repas aux personnes dans le besoin, puis aussi le pain, ce qui se produit encore dans une large mesure. Le pain est l'élément essentiel dans le pays, ce qui explique sans doute son utilisation extensive pendant les offices: la "bénédiction des pains, vin, huile et blé" tire son origine des célébrations de la Pentecôte juive mais, dans la tradition chrétienne est affirme le devoir de demander à Dieu qu'Il "nourrisse le monde et le fasse croître, multiplier. C'est un signe de miséricorde, de bénédiction, de partage et de communion.

Habituellement les jeunes qui fréquentent le "séminaire du Mont Sion" - il sont actuellement pe unombreux et ne se destinent pas tous à la prêtrise - chantent des chants de la Noël en grec, jamais en arabe ou dans d'autres langues. Jusqu'à 2005, tous les fidèles orthodoxes et les représentants des Eglises orthodoxes de Jérusalem venaient et participaient à cet office (Patriarcat de Msocou, de Roumanie, de Serbie, de Géorgie...). Pour l'instant c'est un trop confidentiel. Il faut patienter. Il y a toujours des représentants de la Mission russe de Moscou, ce qui est de l'ordre du bon sens et du sens de l'Eglise.

La Divine Liturgie de la nuit du 13/1 (= 31/12/12) au 14/1 (1/1/13 selon le cal. julien) est magnifique. Elle commence par la célébration de la Circoncision du Seigneur, puis par la mémoire de Saint Basile le Grand dont le bras est porté traditionnellement par le chef de la Mission ecclésiastique russe (Moscou) qui fait aussi la procession avec l'omophoron du patriarche grec au moment de la Grande Entrée qui commence par trois tours autour de la Tombe à l'in,térieur de laquelle la Divine Liturgie de Saint Basile est célébrée.

Après la Liturgie, le patriarche convie tous les fidèles à venir assister à une nouvelle bénédiction d'une "grande Pita" qui est fraternellement partagée dans les locaux du patriarcat grec-orthodoxe, en dessous du Golgotha et donc à côté de la Chapelle d'Adam.

С наступающим праздником Рождества Христовым!

archiprêtre Alxander Winogradsky Frenkel
av aleksandr (Jérusalem)

5.Posté par Vladimir le 04/01/2013 10:57
Merci père Alexandre,

Il semblerait donc que Jérusalem fête ainsi le début de l’année civile en vigueur sous l'empire romain. Est-ce que cela daterait de Byzance qui aurait donc eu 2 calendriers (civil et religieux)?

Em Russie ce n'était pas le cas jusqu'à Pierre le Grand: auparavant il n'y avait que l'année religieuse, qui commençait le 1 septembre et comptait les années depuis la fondation du monde. Par décret du 1 janvier 1700 cette date succède au 31 décembre 7208 ... (cf. http://ru.wikipedia.org/wiki/1700_%D0%B3%D0%BE%D0%B4)

En France la nouvelle année commence le 1er janvier en vertu de l'Édit de Roussillon du 9 août 1564, promulgué par le Roi Charles IX. Auparavant le Jour de l’an a beaucoup changé au fil des siècles pour les peuples usant du calendrier solaire et ce, au gré des Églises, des époques et des pays:
- Aux VIe et VIIe siècles, dans de nombreuses provinces, le Jour de l’an est célébré le 1er mars (style vénitien).
- Sous Charlemagne, l’année commence à Noël (style de la Nativité de Jésus).
- Du temps des rois capétiens, l’année débute le jour de Pâques (style de Pâques). En conséquence, les années sont de longueur très variable. Cet usage est quasi-général aux XIIe et XIIIe siècles et même jusqu’au XVe dans certaines provinces. Les généalogistes des rois de France doivent donc jongler avec les dates en fonction des lieux pour raconter l’Histoire puisque le début de l’année varie selon les provinces : à Lyon, c’est le 25 décembre, à Vienne, le 25 mars (style florentin ou style de l'Annonciation, d'où la tradition du poisson d'avril commémorant l'usage de s'échanger des cadeaux en début d'année de ce style)… Finalement, l’édit de Charles IX harmonisa les pratiques. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jour_de_l%27an)

6.Posté par Daniel le 04/01/2013 14:15
Le diacre Kuraev a encore frappé! Voici qu'il propose de célébrer Noël le 1er janvier.


7.Posté par Vladimir le 04/01/2013 14:50
En toute amitié et juste pour rappelle, le diaconat orthodoxe étant un sacerdoce ordonné, on appelle un diacre père (ou père diacre) et par son prénom, le nom étant éventuellement ajouté entre ().

Je balance entre amusement et perplexité quand à cette sortie du père André...

8.Posté par Daniel le 04/01/2013 15:13
@ Vladimir

Oui c'est un oubli de ma part, j'a tapé trop vite et j'avais oublié le prénom de l'intéressé. J'ai traduit le titre anglais qui omet le prénom : "Protodeacon Kurayev advises to celebrate Orthodox Christmas on January 1".

La nouvelle est bizarre : veut-il avancer tout le cycle de 7 jours, parce qu'il faudrait aussi avancer l'Annonciation qui précède Noël de 9 mois, faire avancer le début du jeûne etc. A moins que ce ne soit un poisson de janvier. Pour être sérieux, le nouvel an civil n'est pas une fête religieuse, pas plus que le 1er mai, la journée de la femme... Je pense qu'e, tant que chrétien le calendrier principal qui régit la vie doit suivre le cycle liturgique.

De ce fait, dans l'ancien calendrier, le 31 janvier civil tombe en plein jeûne, à une période où l'on n'est pas censé festoyer. Dans le nouveau calendrier, le lendemain, 1er janvier, c'est la fête de Saint Basile et de la circoncision du Christ à laquelle il est peut-être difficile d'assister après une nuit de fiesta endiablée.

9.Posté par av aleksandr le 04/01/2013 16:35
Cher Vladimir,

Peut-être me suis-je mal exprimé? Je me pose la question suite à votre réponse. Le calendrier de l'Eglise de Jérusalem est le même que celui de l'Eglise orthodoxe qui suit le calendrier julien, sans discontinuer. Noël ou Nativité est donc bien et fut toujours en gros le 6 et le 7 janvier tandis que la nouvelle année est donc fixée dans la nuit du 13 au 14 janvier, ancien style.

De fait, la nouvelle année liturgique commence bien le 1er septembre, soit dans la nuit du 13 au 14 septembre. Curieusement, nous ne marquons pas ce passage qui devrait être bien plus solennisé dans la mesure où la Liturgie vise à sanctifier le temps. En revanche, comme je l'ai décrit plus haut, les fêtes de la Circoncision et de Saint Basile le Grand constituent une vraie solennité au Saint Sépulcre.

Vous avez raison de citer la fête de l'Annonciation qui a longtemps marqué le vrai début de l'année dans la mesure où cela rejoint la parole du psaume "dès le sein de ma mère, j'ai été sous Ta garde" (Ps. 22,11).

Quand commence véritablement l'année? J'ai à redire que nous sommes tous issus culturellement et religieusement de la civilisation sumérienne et donc de fêtes automnales (ougarit "kipuru = délier", qui a pris son essor dans la tradition d'Israël, mais qui est surtout d'inspiration mésopotamienne. Réfléchissons un instant de manière virtuelle: à l'époque du Christ, l'Afrique du Sud comme l'Australie ou l'Amérique du Sud n'étaient pas connues de ceux qui ont été inspiré par Dieu et ont reconnu son unicité, au sources géo-spirituelles du monothéisme. On peut tout dire ou voiloir ou penser, nous ne pouvons "décoller" de cette révélation faite dans l'hémisphère Nord. Or, aujourd'hui, les habitants de ces contrées australes vont fêter Nouvelle Année tous styles confondus et Noël, Théophanie du Jourdain dans l'été austral. s'il fait 11° le matin à Jérusalem, il fait grosso modo 18°-20° à 26°-29° entre Le Cap et Pretoria. Comment aurions-nous compter les jours et les années si la Révélation s'était faite dans ces contrées?

Aurait-on alors parlé des Eglises locales ou délocalisées, mondialisées, planétarisées comme à l'envers de l'expérience de l'histoire telle qu'elle est clairement décrite dans l'Evangile de Saint Luc lors de la naissance de Jésus, soit dans un lieu, dans une géographie, un calendrier, une historie, une psychologie, une civilisation qui tient de la particularité de la "localisation" (Luc 3,1).

C'est peut-être ce qui se produit dans une sorte de confusion des genres avec le frison catastrophique maya vécu depuis le Yucatan et comme en ricochet entre Bugarach et la Turquie avec des haltes en Russie, brève effectivement dans une pan-mondialisation qui est en vogue. Car si l'on connaît le lieu, la culture, la foi dans son enracinement on est aussi près à en vivre la singularité dans le calendrier.

Dans son livre sur la Liturgie, Constantin Andronikof considérait qu'il était "absurde" de venir à une cathédrale pour y célébrer une date x tandis qu'à la crypte on était à la date y. A Jérusalem, pas de problème, il y a toujours un nouvel an en cours, une fin d'année à venir et le chrétien orthodoxe peut CHAQUE jour y entendre à la fin de toute liturgie quotidienne que le "Christ est ressuscité des morts...".

Votre amusement rejoint ce que dit Daniel (commentaire 7 & 8): nous sommes happés par le temps; au fond, Noël commence en Novembre avec les cadeaux, les soldes sont avancés en attente d'autres festivités. Pourtant il reste "le temps, l'heure" sanctifié par la prière et l'attitude dans la foi. Il y va petu-être de la peur atavique de l'être humain à faire face à un temps incommensurable, inconnu et pourtant si fécond.

J'avais alors répondu à Constantin Andronikof qu'il y a bien des superpositions de temps et de délais selon la manière dont nous pouvons appréhender le Mystère divin et que la date x et la date y se rejoignent in fine au plus haut des Sacrement de la Présence divine. Cette disparité calendaire est bien plus porteuse de la richesse du Dieu Invisible. Il n'est pas fortuit que la Divine Liturgie commence par ces mots du psaume "Время сотвороти Господеви = il est temps (heure, moment, instant) d'agir pour le Seigneur. Il y a bien un kairos de la rédemption... au-delà des nuits endiablées!

av aleksandr (Jérusalem)

10.Posté par "L’ancien" Nouvel an, une fête joyeuse et mystérieuse le 12/01/2013 21:23
Si vous pensez que les fêtes de fin d’année sont terminées et vous pouvez replonger dans le train de vie quotidien, vous serez déçus. Le Nouvel an, c’est une raison de faire la fête. Et les Russes l’aiment tellement qu’ils veulent la célébrer plus souvent.

C’est à la fin du siècle dernier, que les autorités soviétiques ont introduit le Nouvel an orthodoxe qui donne une deuxième occasion de lever les verres de champagne à minuit pile. Tous ceux qui ont des liens culturels avec la Russie, célèbrent cette fête dans la nuit du 13 au 14 janvier.

L’ancien Nouvel an est célébré en Russie, mais aussi en Biélorusse, en Ukraine, en Serbie, au Monténégro et même dans certaines régions de la Suisse. D'où vient cette tradition? Le nom parle pour lui-même. Cette fête est liée avec le calendrier julien qui était en vigueur en Russie jusqu'en 1918. Ensuite, le nouveau calendrier a été adopté en Russie sur l’ordre de Lénine.

Le décalage entre les deux calendriers continue à s’accumuler. En 2101, l’ancien Nouvel an sera célébré dans la nuit du 14 au 15 janvier, et le Noël orthodoxe - le 8 janvier.

De nombreuses coutumes et traditions sont liées au Nouvel an orthodoxe. Selon l'ancien calendrier russe, on célébrait la Saint Basile ce jour là. Les paysans fêtaient la fête antique d’Avisien, associée à la richesse de la récolte pour l’année suivante. Chaque ville et village a ses traditions de célébration, mais pour que l’année soit réussie, il faut disperser du blé dans la maison et s’amuser de tout cœur pendant cette nuit. Les paysans cuisinaient pendant la nuit une bouillie spéciale. Si le pot avec cette bouillie était plein, et la bouillie – délicieuse, cela voulait dire que la nouvelle année sera bonne et heureuse. On attendait généralement le lendemain matin pour commencer à manger la bouillie. Si le pot se fissurait et la bouillie sortait du pot, cela était considéré comme mauvais signe et cette bouillie était jetée dans le puits. C’est pourquoi les Russes célèbrent cette fête de manière la plus fastidieuse possible, pour que l’année suivante se passe bien.

Les divinations font également partie des rituels de célébration de cette fête. Les personnes âgées disent que toutes les prédictions, faites pendant cette nuit, vont se réaliser. Surtout celles qui concernent les jeunes filles célibataires. Selon la légende familiale, c’est à la veille de l’ancien Nouvel an qu’on a prédit à ma grand-mère qu’elle rencontrera mon grand-père. D’autres disent aussi qu’en faisant des divinations par miroir et avec des bougies, il est possible de voir ce qui nous attend au cours de la Nouvelle année.

La double célébration de la Nouvelle année est une particularité russe, devenue une tradition pour tous ceux qui vivent dans les pays de l’espace post-soviétique. Des millions de personnes s’en souviennent et la célèbrent souvent de manière plus festive que le Nouvel an. Et avec les années cette fête commence à être populaire en dehors des pays de la CEI.

Si vous n’avez pas pu faire un vœu dans la nuit du 31 décembre au 1 janvier et vous voulez connaître ce que l’année 2013 vous réserve, vous pouvez le faire dans la nuit du 13 au 14 janvier et vous réunissant à une table avec vos amis et des membres de votre famille.

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