Mgr Alexis van der Mensbrugghe: évêque orthodoxe en France, Amérique et Allemagne; théologien, spécialiste reconnu des liturgies anciennes!
p. Serge MODEL

Van der MENSBRUGGHE, Albert, en religion Maur, puis Alexis, ecclésiastique et théologien, moine bénédictin puis orthodoxe, évêque orthodoxe en France, Amérique et Allemagne, né à Saint-Nicolas-Waes le 9 juillet 1899, décédé à Düsseldorf (Allemagne) le 26 mai 1980.

Savant théologien, spécialiste reconnu des liturgies anciennes, Mgr Alexis van der Mensbrugghe fut également, aux dires de ses contemporains, une personnalité complexe, ce dont témoigne sans doute un parcours ecclésiastique peu rectiligne.

Celui qui deviendra, à la fin de sa vie, archevêque orthodoxe en Allemagne, naît dans une vieille famille catholique flamande qui comptait, depuis des générations, de nombreuses vocations ecclésiastiques et religieuses : deux cousins évêques, deux oncles et trois frères prêtres, ainsi que trois soeurs religieuses entourent directement Albert van der Mensbrugghe. Plus tard, l’un de ses neveux deviendra moine à la Grande Chartreuse, et une nièce, soeur de charité au Congo. Cela n’étonne donc personne qu’au sortir de ses humanités gréco-latines, effectuées de 1911 à 1917 au fameux Collège Sainte-Barbe à Gand – pépinière de tant de personnalités artistiques, culturelles ou politiques –, le fils d’Émile van der Mensbrugghe et de Maria Verbiest choisisse également la voie religieuse.


Mgr Alexis van der Mensbrugghe: évêque orthodoxe en France, Amérique et Allemagne; théologien, spécialiste reconnu des liturgies anciennes!
Entré comme novice à l’abbaye bénédictine Saint-André de Bruges, il y revêt l’habit monastique le 30 octobre 1919 sous le nom de Maur (le disciple privilégié de saint Benoît). Le 19 mars 1921, il fait sa première profession (triennale) et, après des études complémentaires en philosophie, est envoyé pour sa formation théologique (1921-1925) à l’abbaye du Mont César à Louvain, où il suit l’enseignement de maîtres réputés tels dom Bernard Capelle ou dom Odon Lottin. Sa profession monastique perpétuelle est reçue en l’abbaye de Saint-André le 21 mars 1924. En septembre de la même année, il est ordonné au diaconat par l’évêque de Gand, Mgr Seghers, et, le 9 août 1925, au sacerdoce par le cardinal Mercier, archevêque de Malines et primat de Belgique.

La vie du jeune bénédictin prend cependant un tour inattendu à la suite de ses rencontres avec deux personnalités marquantes, le métropolite ukrainien André Szeptyckyj et dom Lambert Beauduin.

Archevêque de Lvov et primat de l’Église ukrainienne unie à Rome, Mgr Szeptyckyj voyage, ces années-là, à travers l’Europe, à la recherche de moines occidentaux – en particulier de bénédictins, considérés comme plus aptes que d’autres à cet apostolat – pour son oeuvre de restauration monastique orientale. De passage à Saint-André, il avait apprécié dom Maur et avait obtenu que celui-ci soit dirigé vers les études byzantines. Au même moment, dom Lambert Beauduin, moine du Mont César et initiateur du mouvement liturgique, envisageait de fonder un monastère destiné à promouvoir l’union des Églises. En combinant ces deux projets, on décide d’envoyer dom Maur au Collège grec à Rome et de le rattacher à la nouvelle fondation monastique à Amay-sur-Meuse (transférée plus tard à Chevetogne). Dans la Ville éternelle, il suit à l’Institut pontifical oriental (en 1925-1927) des cours de spécialisation en sciences ecclésiastiques orientales (liturgie, patrologie et droit canon). En 1927, notre bénédictin est devenu un byzantiniste distingué, mais, avec la mentalité et les convictions qu’il a acquises ces dernières années, il se sent désormais plus proche de l’Église orthodoxe que du catholicisme romain. Un voyage pour l’« oeuvre de l’union » en Autriche, où la diffusion du rite byzantin se heurte à l’opposition des évêques locaux, semble avoir précipité son choix.

En janvier 1928, dom Maur rencontre à Paris le métropolite Euloge Guéorguievsky, primat des paroisses orthodoxes russes en Europe occidentale, ainsi que le prêtre et théologien russe Serge Boulgakov.

Ayant eu vent de la chose, les supérieurs du bénédictin l’envoient dans un couvent en Irlande, pour qu’il « y oublie l’orthodoxie ». Mais rien n’y fait : le 14 avril 1929, à Paris, van der Mensbrugghe est reçu dans l’Église orthodoxe par Mgr Euloge, qui lui confère le prénom d’Alexis.
Est-ce pour éviter d’envenimer une situation déjà tendue (les « défections » de van der Mensbrugghe et d’autres moines d’Amay joueront un rôle non négligeable dans les ennuis de dom Lambert Beauduin) que le père Alexis se retire en Grande-Bretagne ? Toujours est-il que durant les dix années qui suivent (1929-1939), il y servira, avec l’autorisation de Mgr Euloge, de chapelain privé à une famille orthodoxe notable. Il profite aussi des bibliothèques spécialisées d’Oxford et de Londres pour mener des recherches sur l’histoire de la théologie et de la liturgie. La guerre de 1940 ayant interrompu toute communication avec Paris, le père Alexis se place provisoirement sous la direction de l’archevêque orthodoxe grec de Londres, et dessert la paroisse roumaine de la capitale britannique. Il donne également des conférences publiques (à Oxford, Cambridge et Saint-Andrews en Écosse), participe aux discussions théologiques entre orthodoxes et anglicans et assume les fonctions d’aumônier auprès d’orthodoxes de diverses origines incorporés dans les forces armées alliées, ou encore prisonniers de guerre.

En 1945, les relations sont rétablies avec Paris, et Mgr Euloge (qui avait quitté, en 1931, la juridiction du patriarcat de Moscou pour éviter les pressions du pouvoir soviétique, mais y était revenu en 1945) nomme le père Alexis à Amsterdam.


En 1946, celui-ci est cependant rappelé à Paris, pour y être nommé professeur de théologie patristique et de liturgie ancienne à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Denys-l’Aréopagite, lequel vient d’ouvrir en lien avec un projet singulier : la création (ou la restauration, selon les points de vue) d’une « Église orthodoxe occidentale ». Issue de la rencontre entre des Russes émigrés en France et des Français aux idées gallicanes, la mouvance qui portait ce projet s’était donné pour objectif de rétablir les anciens rites liturgiques en usage avant Charlemagne, tels que décrits par Grégoire de Tours ou Germain de Paris. Et c’est ici que van der Mensbrugghe, promu archimandrite (équivalent orthodoxe de « monseigneur ») et inspecteur de l’Institut, révèlera ses talents de liturgiste : lui qui, durant sa période britannique, avait publié un essai philosophico-théologique quelque peu nébuleux, va non seulement étudier les documents anciens mais, sur les bases établies par les savants des siècles précédents (Mgr Duchesne, dom Cabrol, etc.), s’attacher à reconstituer, en français, une liturgie « orthodoxe » propre à l’Occident. Dès 1948, il publie sa Liturgie orthodoxe de rite occidental, puis, en 1962, un Missel orthodoxe ou Livre de la synaxe liturgique de rite occidental (il ne se contentera d’ailleurs pas d’un travail intellectuel, mais célébrera lui-même selon ce rite, revêtu d’ornements liturgiques occidentaux). D’une manière générale, même si les tenants de ces courants « occidentaux » demeureront toujours marginaux dans l’Église orthodoxe (que la plupart finiront d’ailleurs par quitter pour constituer des communautés « parallèles »), van der Mensbrugghe continuera, sa vie durant, de se soucier de ces questions.

Au début des années cinquante, l’archimandrite Alexis se rend en Allemagne pour y étudier les possibilités de développement d’une orthodoxie occidentale, mais les réactions critiques envers son travail (tant de prospection que liturgique) le décident à se démettre de toutes ses fonctions et à quitter l’obédience du patriarcat de Moscou. Il rejoint alors un évêque roumain en exil à Paris (le métropolite Vissarion Puiu, relié à l’Église russe « hors-frontières »), dont il devient « vicaire pour les occidentaux », et donne des cours de théologie au Centre roumain de recherches dans la capitale française. Il participe également aux congrès internationaux de patrologie d’Oxford.

En 1959, Alexis van der Mensbrugghe réintègre la juridiction de l’Église russe et reprend ses cours de théologie patristique et de liturgie (s’y ajouteront la théologie dogmatique et comparée) au Séminaire francophone du patriarcat de Moscou à Villemoisson-sur-Orge (Essonne).


En 1960, après un voyage en Russie à l’invitation du patriarcat, il est nommé évêque auxiliaire de l’exarque patriarcal en Europe occidentale. Le sacre de celui qui est sans doute le premier occidental à devenir évêque orthodoxe a lieu à Paris, le 1er novembre 1960. Durant plusieurs années, le nouvel évêque titulaire de Meudon (Hauts-de-Seine) poursuit ses activités d’enseignement ainsi que ses publications en matière de patrologie, de liturgie et œcuménisme (dans des revues françaises, britanniques et allemandes), et prend part à la commission « Foi et Constitution » du Conseil œcuménique des Églises.

En juillet 1968, Mgr Alexis est nommé évêque à Philadelphie (Pennsylvanie), auxiliaire de l’exarque du patriarcat de Moscou aux États-Unis d’Amérique.
Le 5 avril 1970, il est promu archevêque, mais le 10 avril, l’Église orthodoxe russe accorde l’autocéphalie (indépendance ecclésiastique) à l’Église orthodoxe en Amérique, et l’exarchat est supprimé. Après avoir, très brièvement, administré les paroisses du patriarcat au Mexique, Mgr Alexis est rappelé en Europe, où il est nommé, le 1er décembre 1971, archevêque orthodoxe de Düsseldorf et d’Allemagne du Nord.
Dans ces dernières fonctions, celui qui n’est désormais plus tout jeune va donner l’exemple d’un épiscopat fructueux : la création de nouvelles paroisses, d’un centre diocésain, la représentation, par l’archevêque, de son diocèse au concile de Moscou en 1971 ou sa participation à de nombreuses rencontres et activités oecuméniques accorderont à l’Église orthodoxe une certaine visibilité dans la société ouest-allemande de l’époque.

Le 27 avril 1979, Mgr van der Mensbrugghe est, à sa demande, déchargé de ses fonctions pour raisons de santé et admis à la retraite. Il décède le 26 mai 1980 à Düsseldorf. Le 30 mai, après des obsèques en la ville de Neuss, il est enterré dans le caveau familial du cimetière de Saint-Nicolas.

i[Chirotonie épiscopale de Mgr Alexis (van der Mensbrugghe), dans Messager de l’exarchat du patriarche russe en Europe occidentale, n° 35, 1960, p. 3-9. – M. Lossky, S. Exc. Mgr Alexis (van der Mensbrugghe). Notice biographique, dans Messager de l’exarchat du patriarche russe en Europe occidentale, n° 36, 1960, p. 7-12. – J. Balzon, In memoriam. Archevêque Alexis van der Mensbrugghe (1899-1980), dans Contacts, revue française de l’orthodoxie, n° 32, 1980, p. 190-191. – N. Thon, Vyssokopreosviachenniy Alexiy (van der Mensbrugghe), byvchyi Dusseldorfskiy. Nekrolog [Son Eminence Mgr Alexis (van der Mensbrugghe), ancien évêque de Düsseldorf. Nécrologie], dans Journal Moskovskoy Patriarchii, n° 11, 1980, p. 18-20. – A.S. Bouïevsky, Alexiy (van der Mensbrugghe, Albert), 1899-1980, dans Pravoslavnaya Entsyklopedia, t. 1, Moscou, 2000, p. 661-663. – C. Korolevskij, Kniga bytija moego [Le livre de ma vie]. Mémoires autobiographiques, Vatican, 2007.]i
...................................

La notice biographique par p. Serge MODEL sur Mgr Alexis Van der Mensbrugghe dans le nouveau volume (11) de "la Nouvelle Biographie Nationale de Belgique"

PHOTO : Archbishop Alexis (van der Mansbrugghe) serving the Western Rite Liturgy with Metropolitan Anthony (Bloom) of Sourozh - most likely the Roman Rite Liturgy of St Gregory

Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 26 Avril 2012 à 10:38 | 9 commentaires | Permalien


Commentaires

1.Posté par Daniel le 21/04/2012 11:10
Intéressant! je ne le connaissais guère!

2.Posté par B.L. le 21/04/2012 12:56
Réelement je le trouve formidable, et je dis vraiment un immence BRAVO pour "PO" !

3.Posté par vladimir le 21/04/2012 22:17
Un cheminement très curieux qui montre bien que les voies de Dieu sont impénétrables. Il est très possible que Mgr Alexis soit effectivement le premier occidental de souche et converti à l'Orthodoxie à être sacré évêque (je ne connais pas d'exemple antérieur en tout cas) et il est remarquable que ce soit l'Eglise russe qui ait innové de la sorte. Rappelons que l'Eglise russe avait ouvert la porte aux rites occidentaux (je découvre que Mgr Alexis s'y était impliqué) et c'est elle aussi qui avait lancé l'usage liturgique du français dès les années 1930, au moins 20 ans avant les premières expériences de la Crypte rue Daru. Cela illustre une fois de plus cet esprit ouvert et missionnaire dont notre Eglise a toujours fait preuve.

4.Posté par Fabre Daniel le 22/04/2012 09:37
ben non, ce n'était pas le premier occidental, conf. l'histoire de l'Ecof dont d'ailleurs vous faites plus ou moins allusion en parlant de l'institut Saint Denys... donc : " ....Mgr Winnaert et des représentants de la Confrérie Saint-Photius entrèrent en relation en 1927. Il s’ensuivit une série de contacts avec des hiérarques orthodoxes, avec l’appui de la Confrérie Saint-Photius, qui finirent par déboucher sur le décret du métropolite Serge de Moscou du 16 juin 1936 acceptant de recevoir la petite communauté et l’autorisant à conserver le rite occidental (c’est-à-dire un rite romain modifié) ; .....La petite communauté fut reçue dans l’Eglise orthodoxe en 1937, alors que Mgr Winnaert était déjà gravement malade. Il mourut peu après, non sans avoir demandé l’ordination sacerdotale d’un des membres de la Confrérie Saint-Photius, Eugraph Kovalevsky (1905-1970), pour assurer l’avenir de l’« Eglise orthodoxe occidentale » (qui prit quelques années plus tard le nom d’Eglise orthodoxe de France). Eugraph Kovalevsky devint par la suite (en 1964) évêque sous le nom de Jean de Saint-Denis......rupture avec le Patriarcat de Moscou en 1953, bref passage dans l’Exarchat russe du Patriarcat de Constantinople en 1953-1954, suivi d’une traversée du désert de plusieurs années hors de toute obédience canonique et sans évêque, puis rattachement à l’Eglise russe hors-frontières en 1959, suivi d’une rupture en 1966 et d’une nouvelle période d’existence indépendante, débouchant sur la réception de l’ECOF dans l’obédience du Patriarcat de Roumanie en 1972...."
bon ouala !

5.Posté par vladimir le 22/04/2012 18:27
Merci Daniel Fabre, mais je parlais d’évêques canoniques... Eugraph Kovalevsky a bien été sacré évêque en 1964, sous le titre de Jean de Saint-Denis, par l’archevêque Saint Jean de Shanghai et de San Francisco (canonisation en 1994 par l'EORF reconnue en 2008 par le patriarcat de Moscou), mais ce dernier ne faisait pas partie d'une église canonique à l'époque et ce sacre n'a pas été reconnu par les Eglises canonique. Cerise sur le gâteau, Eugraph Kovalevsky a été canonisé par le soi-disant, "évêque d'Arles de l'Eglise Orthodoxe des Gaules" Grégoire, le 12 octobre 2008...

En effet, après la mort du pseudo Jean de Saint-Denis (1970), Mgr Germain (Gilles Bertrand-Hardy) avait été sacré évêque par l'Église de Roumanie en 1972 comme primat de l'ECOF, puis déposé en 1993; l'ECOF a alors éclaté. L'un des débris est devenu l'Eglise Orthodoxe des Gaules, reconnue uniquement par l'Eglise Orthodoxe Ukrainienne en Amérique, qui pratique le «rite des Gaules» (http://www.eglise-orthodoxe.eu/orthodoxe_gaules_1.htm ).

Un autre débris subsiste d'ailleurs sous le nom de "Église orthodoxe de France" ou "Église catholique orthodoxe de France" (ECOF), toujours dirigée par l'ex-évêque Germain et pratiquant la liturgie selon saint Germain de Paris "restaurée" par Eugraph et Maxime Kovalevsky (http://eglise-orthodoxe-de-france.fr/). Il y a aussi des paroisses de l'ECOF qui ont rejoint différents diocèses canoniques et pratiquent le rite byzantin, le plus souvent en français…

Comme on le voit, malgré un parcours très particulier, Mgr Alexis est revenu dans l'Eglise russe, ce qui lui permet d'être mis au rang des prélats et théologiens canoniques. Je rappelle d'ailleurs qu'il y a des paroisses pratiquant différants rite rites occidentaux dans les juridictions canoniques (cf. http://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/Diversite-de-l-Orthodoxie-Les-fondements-des-rites-Orthodoxes-Occidentaux_a1923.html )

6.Posté par père Serge le 23/04/2012 09:45
XB à tous !

Je puis évidemment me tromper (comme tout un chacun), mais il me semble que l'année 1960 (sacre épiscopal de Mgr Alexis van der Mensbrugghe) est ANTERIEURE à 1964 (sacre de Mgr Jean de St-Denys), quelle que soit l'appréciation que l'on donne à ce dernier événement ...

Quant à Mgr Irénée Winnaert, son "épiscopat" conféré en 1922 par un évêque "catholique-libéral" (vaguant) n'a jamais été reconnu par aucune Eglise orthodoxe, canonique ou non. Il a été reçu dans l'orthodoxie en 1937 (pratiquement à l'article de la mort) au rang d'archimandrite, après avoir accepté la séparation avec son épouse (il s'était marié tout en étant "évêque").

Mgr Alexis vdM est donc bien le premier occidental à être devenu évêque orthodoxe.

7.Posté par Fabre Daniel le 23/04/2012 16:55
voui merci Vladimir et père Serge !

8.Posté par Clovis le 23/04/2012 18:46
Les travaux de Mgr Alexis sur "l'antique liturgie de France" sont-ils encore disponibles ?
Merci

9.Posté par Jean-Louis Guillaud @ Clovis le 07/03/2013 14:43
Je ne sais pas si Clovis a eu réponse à sa question sur les travaux liturgiques de Mgr Alexis.
J'en possède deux :

* Le Missel orthodoxe (Rit Occidental)-Supplément à contact n°39 B - 1962 qui donne (et décrit un peu) les rites gallican et italique. Peut-être le trouve-t-on encore chez l'éditeur ?
* une étude parue dans la revue Présence Orthodoxe :"L'expositio missae gallicanae est-elle de saint Germain de Paris ?", étude scientifique, historique et liturgique de grand intérêt (que je peux photocopier au besoin, le n°34-35 de P.O. 1976 étant épuisé).

Fraternellement, de la part d'un prêtre de l'Eglise Catholique Orthodoxe de France

Nouveau commentaire :



Recherche



Derniers commentaires


RSS ATOM RSS comment PODCAST Mobile