Pour ceux qui écouteront la récitation du Notre Père, ils noteront que la version italienne parlent de dettes et de débiteurs et non d'offenses... En revanche, il est question de pain quotidien.

"Là où deux ou trois sont réunis en Mon nom..."

La démarche religieuse du catholicisme a très vite évolué en une vie dans le célibat consacrée à l'apostolat.(célibat du clergé, ordres religieux apostoliques qui remontent au grd. schisme) Le show de la Soeur Cristina s'inscrit avec excellence dans cette voie quelque peut tapageuse, mais bien légitime dans ce contexte précis. "Laissons à César ce qui lui appartient ..."

Le monachisme ancien était érémitique puis pour des motifs de formation spirituelle et d'encadrement ecclésial il est devenu communautaire (autour de la direction spirituelle et du partage eucharistique).
Ce monachisme s'est ouvert naturellement au IV- V s. de part la nature de son origine évangélique, à la philoxénia et à la sollicitude pour le pèlerin et l'indigent. Sans cependant perdre sa vocation à l'anachorèse cf.le Mont Athos et Varlaam.
Sous l'influence des chrétiens d'occident (cathos. protos) au XIX s. certaines parties monachisme oriental ont glissées dans la direction de la diaconie. Ex. Lesna, Sainte Marie de Paris, les fraternité Zoï, l'excellent établissement religieux de Sainte Lydia dans le Nord de la Grèce. etc
Ce sont probablement des démarches LÉGITIMES mais à ne pas LÉGITIMER, car la "diaconie" c'est avant tout la mission de l'église entière (cf. diaconat consacré, éventuellement féminin) et elle ne peut en aucune façon être un appel au célibat institutionnalisé (en saine spiritualité biblique).

Je n'ai pas mes entrées pour savoir qui se réjouit ou ne se réjouit pas en des acclamations "FRENETIQUES" heureusement chez nous d'autres semblent avoir des renseignements précis.
A chacun et chacune son créneau...

mais gardons à l'esprit tout autant que Mathieu 18, 20 que cite le cher Vladimir / le livre 1 des Rois 19, 11- 13 plus propice en de réels retournements pentecostaux indispensables à notre propre notre église. Balayons devant notre porte et Bonne Fête pour ces deux jours qui nous sont donnés !