Chers Amis & Correspondants,
Voici des souvenirs en images de l’exposition de photographies du hiéromoine Stefan (Postolyako) à la Médiathèque de Rueil au printemps 2010.

Vous trouverez le lien vers la VERSION INTEGRALE du film de Nikita MIKHALKOV sur l’archiprêtre Michel OSSORGUINE, qui intègre un extrait de la table-ronde que j’avais organisée.
Cyril Semenoff-Tian-Chansky





Rédigé par Cyril Semenoff-Tian-Chansky le 26 Juin 2011 à 21:46 | 3 commentaires | Permalien


Commentaires

1.Posté par Anne Khoudokormoff-Kotschoubey le 28/06/2011 15:27
MERCI. J'attendais tellement cela. Et c'est arrivé le jour de la fêtes de tous les saints de la terre russe. Il n'y a pas d'hasard, mais la Providence! Je vous en suis fort reconnaissante.
Anne

2.Posté par Кирилл Петрович Семенов-Тян-Шанский le 29/06/2011 01:59
Je suis très touché par votre commentaire.

Si incontestablement, l'exposition et la table-ronde ont représentées beaucoup de travail, nous sommes tous profondément honorés d'avoir pu faire connaître l’œuvre photographique du hiéromoine Stefan (Postolyako), et, grâce à l'intervention inspirée du p. Nicolas Ozoline, d'avoir recueilli le témoignage historique et vibrant du p. Michel Ossorguine.

Кирилл СТШ.

3.Posté par la Librairie du Globe le 30/06/2011 17:33
Le 15 juin à Paris, la Librairie du Globe, spécialisée dans la littérature russe, a présenté la sortie du livre Aux origines du Goulag. Récits des îles Solovki, aux éditions François Bourin (collection Moutons noirs).

Le livre rassemble les textes de Sozerko Malsagov et Nikolaï Kisselev-Gromov, deux anciens officiers du Tsar, puis de l’Armée blanche. Tous deux ont participé à la Guerre civile, et tous deux ont été déportés vers les Camps à destination spéciale des Solovki (SLON), construits en 1923 par les tchékistes sur les lieux d’un ancien monastère du XVe siècle, dans la mer Blanche, près du cercle polaire.
Dans ce prototype du Goulag, tous ceux considérés comme les ennemis les plus dangereux de l’Etat bolchevique sont déportés et condamnés aux travaux forcés. Contre-révolutionnaires toutes catégories confondues, prostitués, spéculateurs et faux-monnayeurs en tout genre y côtoient des criminels de droit commun particulièrement dangereux. Et c’est justement à ces derniers que les surveillants des camps donnent leur confiance pour « rétablir l’ordre », leur laissant la liberté de jouer selon leurs propres règles. La pègre, principale source de terreur et de violence, régne dans les camps des îles Solovki. Les femmes, qui représentaient environ un dixième de la population carcérale globale (dans les années 20, on comptait environ 60 000 prisonniers), ont été particulièrement visées par les humiliations et la violence......
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